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Branlette humiliante

Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.

Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.

NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.

Pussy Boy

Le terme pussy boy définit en anglais un homme non seulement psychologiquement soumis à l’autorité d’une Femme mais également totalement dévoué au bien être de sa Vulve qu’il voit comme la chose la plus importante à l’intérieur de leur couple.

Toute Reine a donc intérêt à conduire rapidement son chevalier à devenir un pussy boy pour qu’il devienne (pratiquement littéralement) esclave de son intimité.

A ce titre utiliser sa langue comme gant de toilette s’avère nécessaire mais également – pour peu que cela soit fait régulièrement – suffisant pour qu’elle remplace définitivement tout autre instrument (douche, lingette, etc).

Si le nettoyage du sperme d’un amant fait partie des fantasmes récurrents de certains couples, force est de constater que c’est extrêmement rare et que l’essentiel des toilettes consistent à débarrasser la Reine de fluides et d’odeurs que sa propre intimité aura secrété.

Le côté humiliant qu’il y a à lécher ainsi les déchets de l’intimité de sa Reine sera pour le chevalier contre-balancé par le sentiment de noblesse qu’il y a à honorer et servir ce qui fait l’essence même de sa Féminité

Pour la Reine, ces toilettes sont l’occasion de profiter du plaisir physique que lui procure la langue de son chevalier mais aussi de créer des moments d’intimité où Elle aura la satisfaction de constater que rien ne saurait altérer son statut de Reine aux yeux d’un homme totalement soumis à tous les aspects de sa Féminité, même les moins "glamours".

 

Nouvelle jupe

"Ci-joint la photo de ma nouvelle jupe, en cuir comme tu aimes. Je sais qu’il te tarde d’embrasser mes fesses lorsque je la porterai. Moi aussi, je suis impatiente de mesurer le poids de ta soumission lorsque je sentirai la caresse de tes baisers."

"Lorsque je l’estimerai nécessaire, je me retournerai, je la soulèverai légèrement et j’en écarterai les pans pour offrir à ta langue mon intimité que tu auras su rendre humide et odorante afin que tu me donnes du plaisir tout en la nettoyant. "

"Tu sais combien il est important pour une Reine de savoir que la langue de son chevalier peut avantageusement remplacer une lingette et sa bouche servir de réceptacle à sa jouissance et je sais combien ce rôle te tient à cœur."

"J’attendrai donc de toi une toilette complète, méthodique, minutieuse. que ta langue fouille chaque repli de mes lèvres, s’insinue le plus loin possible à l’intérieur de mon vagin et bien sûr qu’elle honore mon clitoris comme si ta vie en dépendait afin que, me sentant tout à fait à l’aise, je puisse jouir sans retenue et m’épancher dans ta bouche…"

"Sans doute cette jupe servira t-elle aussi un jour à séduire de futurs amants mais ne doute pas que si je l’ai achetée c’est avant tout en pensant à toi et à l’usage que je pourrai en faire pour que tu te sentes impressionné par mon pouvoir, plus soumis, plus obéissant et totalement dévoué à ce qui fait l’essence même de ma Féminité."

Nue propriété

Le meilleur moyen pour un homme de reconnaitre la supériorité de la Féminité est est de reconnaitre parallèlement l’infériorité de sa virilité.

Quoi de plus naturel – donc – pour un chevalier lorqu’il offre ses services à une Reine, de lui offrir également la gestion de sa virilité et donc par extension de son sexe.

Il en garde la nue propriété (son appendice restant naturellement accroché à son corps) mais en perd l’usufruit, sa Reine présidant à sa destinée.

Ainsi c’est Elle qui décide :

  • S’il doit être épilé ou non.
  • S’il doit être encagé, quand et en quelles circonstances.
  • Du type de sous vêtement qui devra le protéger.
  • S’il doit être exhibé (dans un premier temps dans l’intimité) et quand.
  • S’il doit rester chaste et être interdit ou non de pénétration.
  • Quand et comment il pourra prendre du plaisir.

Il peut également bien sûr servir de support à un ruban, une clochette, un petit tablier, bref il devient avant tout non plus un objet de plaisir (surtout s’il est chaste et de petite taille) mais un objet ludique destiné à lui rappeler son état de soumis et son infériorité (même physique) devant une Femme.

 

Pensée

Malgré la chance qu’il a d’être proche d’Elle, un chevalier chaste et cocu, lorsqu’il voit, lèche, nettoie ou vénère l’intimité de sa Reine, ne peut s’empêcher de penser (souvent pour le plus grand plaisir de cette dernière) à tous les sexes mâles qui ont connu ou connaitront la douceur de ses nymphes, alors que lui n’en connaitra jamais que le vestibule.