Lui faire porter une cage de chasteté pour contrecarrer son réflexe de prendre du plaisir en oubliant celui dû à sa Reine.
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Périlleux
Parfois, embrasser les pieds de sa Reine peut être un exercice périlleux pour son chevalier.
Autre avantage
" Un autre avantage à te faire porter ta cage, c’est que tout à l’heure, lorsque je serai avec lui, tu seras dans l’impossibilité de te libérer de ta tension sexuelle pour essayer d’oublier que tu seras cocu et ne pas imaginer tout ce que nous ferons. Ta frustration, voire ton excitation de petit pervers qui se satisfait de savoir sa Reine jouir sous les coups de boutoir de son amant, t’empêcheront de penser à autre chose qu’à Moi, à ma grandeur, à mon pouvoir et j’aime cette idée. Ainsi, quelque part et malgré toi, tu participeras à rendre mes orgasmes encore plus violents et tu pourras toujours te dire que tu n’es pas si inutile que ça. Bonne Saint Valentin mon chéri. "
Montrer son cadeau
" Ne sois pas timide mon chéri. Baisse ton pantalon et ta culotte pour que mon Amie puisse voir le cadeau de noël que je t’ai offert. Je lui ai déjà dit mais Elle aimerait voir à quoi il ressemble en vrai."
Plus grosses
" Même si elles n’ont rien d’extraordinaires, à défaut de le regretter, tu pourras toujours te vanter d’avoir les couilles plus grosses que ta bite. "
Un honneur accordé
" J’attends de celui qui devra porter Ma cage de chasteté qu’il ne la voit pas comme une punition que je lui imposerai mais comme un honneur que je lui accorderai. "
Obnubiler
" Je ne sais pas si ce sont les effets de ta cage de chasteté mais tu sembles obnubiler par ma culotte. Tu aimerais que je t’autorise à la lécher ? "
Honorer le symbole
Quand ce n’est plus le pénis mais la vulve qui devient le symbole de l’autorité dans un couple, charge à celui qui ne la possède pas (au propre et souvent au figuré) de la respecter et de la vénérer en signe d’obédience.
Chacun dans son rôle
" Chacun dans son rôle. Quand le mien sera de pisser, le tien sera de me nettoyer avec la langue. "
Chasseuse
" Que les choses soient claires, je suis la chasseuse et pas la proie. La chasseuse choisit sa proie, pas l’inverse et je ne m’intéresse qu’à celles que je juge capables d’être domestiquées, comme le serait un chien, avec tendresse et exigence, pour son bien et celui de sa Maîtresse. "
