" Je n’ai pas assez de pouvoir pour transformer ton petit berlingot en sucre d’orge mais, si tu étais parfait ce soir, j’en aurai suffisamment pour le désensacher demain afin que tu puisses le tripoter et le détendre pour la première fois depuis un mois."
" Puisque je l’ai mise pour lui, il me semble normal qu’il soit le premier à savoir ce que je porte – ou pas – sous cette robe. Rassure-toi, tu seras le second, lorsque je t’autoriserai à l’ouvrir pour déposer ta langue là où il aura glisser sa queue. "
" Tu imagines l’inverse ? Moi plate et toi bien membré. Je ne porterais pas de soutien gorge et toi pas de cage de chasteté. "
Quand Elle lui interdit les baisers buccaux, un moyen de donner à son chevalier l’occasion de goûter au parfum et à la texture de son rouge à lèvres.
" J’avoue que d’avoir des bottes toujours impeccables, par la grâce d’un homme qui les entretient avec amour, rend leur port deux fois plus agréable. "
" Je comprends que ta frustration soit à son comble après 4 longues semaines d’abstinence mais je ne me sens ni responsable, puisque je n’ai fait que suivre un mouvement que je n’avais pas initié, ni même solidaire puisqu’en tant que Femme je ne me sens pas concernée. Alors pourquoi me priver du plaisir de caresser mon abricot en ta présence pour que tu le partages, même virtuellement, avec moi ? "
" Plus qu’une semaine avant la fin de ta période d’abstinence. Trinquons pour fêter ça. C’est toujours la dernière la plus dure mais tu commences à voir le bout du tunnel et, puisqu’on parle de tunnel, tu vas ensuite pouvoir glisser ta langue à l’entrée du mien pour me donner un bel orgasme puisqu’après tout, Moi, j’y ai droit quand je veux. "
Devoir regarder une play-list de vidéos imposée par sa Reine, pour lui rappeler ce qu’Elle est en train de faire en son absence, peut rendre en période de confinement prolongé (de sa quéquette) son cocufiage douloureux non seulement psychologiquement mais également physiquement.
" Maintenant je veux que tu te déshabilles intégralement mais sans te relever, afin que tu restes toujours dans une position inférieure à la mienne."
" Sois honnête et reconnais que, quand tu penses à Halloween, tu imagines avant tout la fin d’un long mois d’abstinence et la possibilité de reprendre le rythme de tes branlettes dominicales. La bonne nouvelle pour toi c’est que le 1er novembre tombe un dimanche, la mauvaise c’est que moi je ne suis pas abstinente et qu’un homme charmant m’a invitée à passer cette soirée avec lui. "
