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Pourquoi le faire cocu ?

De nombreuses études (comme celle-ci) ont montré que si une Femme recherche à s’accoupler avec un partenaire dans une relation amoureuse, Elle est aussi génétiquement programmée pour chercher de multiples partenaires sexuels au cours de sa vie.

Si beaucoup d’entre Elles inhibent et occultent cette partie de leur personnalité, d’autres l’assument mais souvent au dépend de leur vie amoureuse c’est à dire en multipliant les rencontres sans pouvoir se fixer auprès d’un homme, quand bien même il aurait les qualités de cœur et d’intelligence qu’Elle attendrait de lui.

Cet esprit de liberté, généralement lié à un caractère dominant, fait qu’avec le temps Elles puissent rechercher un partenaire amoureux qui acceptera qu’Elles ne soient pas sexuellement monogames.

Lorsqu’Elle est vraiment dominante, la condition de cette acceptation est sine qua none et son partenaire ne doit pas espérer qu’une fois la relation établie Elle puisse (par amour pour lui) revenir sur cette condition.

S’instaure alors une relation Reine/chevalier, où le chevalier – lui – doit, c’est évident rester fidèle (dans le cas contraire on serait dans une relation traditionnelle mêlée d’échangisme mais pas D/s) voire parfois chaste (dans le sens ou toute pénétration est réservée à ses amants).

Un futur chevalier à qui une Reine impose le fait de devenir cocu consentant doit donc comprendre que si cela renforcera le pouvoir de la Reine et l’humiliation (donc la soumission) du chevalier, il ne s’agit en fait que d’une heureuse conséquence mais pas du but initialement recherché, à savoir la liberté sexuelle irrévocable de la Reine.

En d’autres termes il faut pas confondre conséquence et cause et une Reine qui se frustrerait de ne pas faire son chevalier cocu serait malheureuse mais inversement une Reine qui se forcerait à la faire uniquement en vue de se sentir plus grande le serait tout autant.

Pour conclure : Une relation fondé sur l’acceptation de son cocufiage par le chevalier a au moins deux avantages :

  • Pour la Reine celui de pouvoir cumuler une vie amoureuse et complice (avec son chevalier) et une vie sexuelle épanouie (avec ses amants).
  • Pour le chevalier de savoir que sa Reine n’étant pas frustrée sexuellement, elle pourra se consacrer entièrement à l’amour qu’Elle lui porte (lorsqu’Elle ne sera pas avec ses amants).


 

Régime

Pour celles qui souhaitent perdre quelques kilos en trop, la langue d’un chevalier peut être consommée sans modération.

En effet un orgasme faisant dépenser entre 100 et 150 calories, 4 "repas" quotidiens de ce type (matin, midi, goûter, diner) font perdre entre 400 et 600 calories, soit 20 à 30 % des dépenses journalières moyennes.

NB : Tout en cas supplémentaire est dans ces conditions naturellement bienvenu.

Orgasmes magiques

A la différence d’un homme dont la jouissance est pour la plupart du temps et brève et relativement pauvre, une Femme dispose d’un corps infiniment plus sensible qui la conduit, lorsqu’Elle oublie ses soucis quotidiens et  lorsqu’Elle est bien servie, à profiter d’orgasmes magiques.

Lorsqu’Elle est Reine, une des principales tâches de son chevalier est donc de lui offrir ces orgasmes, aussi souvent qu’Elle le désire et ce par tout moyen, notamment avec sa langue ou son sexe.

Si, par principe pour garder de la distance en refusant de se donner à lui, et/ou parce que son sexe serait d’une taille insuffisante pour la satisfaire, il ne pouvait pas lui donner du plaisir en la pénétrant, il devrait alors accepter que d’autres se substituent à lui pour la satisfaire ainsi.

Epilation du pénis

Imposer l’épilation de son pénis à son chevalier est une pratique courante dans le cadre d’une relation ou c’est la Femme qui est dominante dans le couple.

Cette pratique est une marque de l’acceptation de la soumission de l’homme et un moyen de le rendre moins viril aux yeux de sa Reine. C’est aussi un moyen de l’humilier en rendant sa nudité plus prégnante lorsqu’il doit se présenter dans la tenue d’Adam.

Néanmoins lorsque ce pénis est de taille moyenne ou supérieure à la moyenne, l’absence de poil ne suffit pas à déviriliser totalement son propriétaire.

Inversement, lorsqu’il est inférieur à la moyenne, voire lorsqu’il ne dépasse pas – comme le mien – une dizaine de cm en érection (c’est à dire moins que la taille moyenne d’un enfant de 13 ans), sa pilosité – seul signe apparent de virilité – disparue le fera clairement apparaître pour ce qu’il est réellement, à savoir un zizi de petit garçon.

Cette constatation, si elle renforce le complexe du chevalier peut être aussi vue comme une chance dans la relation qu’il entretient avec sa Reine puisque ce caractère physique imparable facilite – pour l’Une comme pour l’autre – la mise en place d’un rapport psychologique où Elle se positionne comme adulte et lui comme enfant soumis à Son autorité.