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Divinité du sexe Féminin

Maintenant souviens-toi que son sexe a toujours été pour la femme un sujet de honte. Son point le plus faible. Il sent, il est humide, il peut exhaler des fluides aux moments les plus délicats.. Bien sur aujourd’hui il y a des moyens de le rendre propre et frais mais l’impression demeure. Comment une femme peut-elle lutter contre cette mauvaise impression ? Si elle est bien servie. Si quelqu’un lui montre une réelle dévotion, une adoration inconditionnelle, une passion illimitée pour son corps et son esprit. Si quelqu’un enfoui son visage contre son sexe, en lèche l’intérieur, boit ses fluides et avale tout ce qu’elle donne.

Alors de quoi pourrait-elle avoir peur ? Comment pourrait-elle être gênée par cet ancien et pernicieux sentiment quand quelqu’un lui montrerait que c’est exactement ce qu’il veut et qu’il le veut d’elle ? A longueur de journée et à longueur de nuit…

Crois-moi, cette passion d’abandon que tu ne croyais pas pourvoir exister, tu la trouveras chez cette femme, son coté animal, monstre sexuel. Et alors elle deviendra totalement sauvage. Elle se posera sur ton visage, te fera lécher son anus, urinera dans ta bouche, jouira de ta langue, s’abandonnera totalement à faire des choses qu’elle n’aurait jamais envisagé pouvoir faire…Crois moi je l’ai vu…

J’aime beaucoup cet extrait d’un texte trouvé un jour sur le net (qui se trouve d’ailleurs sur mon blog)

Gant de toilette

Puisque la Domination Féminine prône – à juste titre – la Supériorité de la Femme et de la Féminité, il me semble inconcevable qu’elle ne passe pas également par l’adoration de la Vulve, non seulement parce qu’elle est conçue pour donner la vie, mais aussi parce qu’Elle est à l’image de ce qui fait la complexité d’une Femme

Uniquement préoccupés par leur propre sexe et à leur besoin de "baiser" trop peu d’hommes prennent le temps de réellement s’intéresser à celui de la Femme, notamment – hélas – lorsqu’il s’agit de lui donner du plaisir.

Rentrer dans le monde de la Domination Féminine est pour eux le meilleur moyen d’oublier leur ego masculin (Qui tourne justement autour de leur pénis) grâce à la chasteté et l’abstinence mais également d’apprendre à ne plus se consacrer qu’au sexe de la Femme et à son bien-être.

Ce bien être passe par naturellement le plaisir mais aussi par l’hygiène. Si les sécrétions et les odeurs de sa Vulve sont encore trop souvent un sujet de honte pour une Femme c’est parce qu’Elle se sent mal à l’aise vis à vis des hommes qui n’en connaissent pas le fonctionnement. Elle n’aura généralement pas ce sentiment auprès d’autres Femmes qui partagent les mêmes problèmes.

Le meilleur moyen pour se sentir à l’aise vis à vis d’un homme passe donc par son éducation afin qu’il comprenne tous les mécanismes du sexe Féminin et que cela ne soit plus un sujet tabou.

Dans une relation D/s cette éducation devrait être suivie de l’implication du soumis pour renforcer ce partage.

Cette implication peut-être indirecte ou directe.

  • Indirecte : C’est lui demander de nettoyer sa Vulve avec une lingette, de gérer son stock de protèges slip, serviettes ou tampons et de toujours veiller à en avoir sur lui si le besoin s’en faisait sentir, être responsable de la gestion de ses gels et savons intimes.
  • Directe : C’est – au-delà des tâches indirectes demandées – utiliser directement sa langue pour procéder aux toilettes nécessaires à une hygiène parfaite.

La méthode directe si elle peut être considérée comme la plus humiliante – elle l’est au moins pour l’homme au regard de notre culture – est aussi celle qui permet le plus meilleur partage émotionnel et physique.

En demandant cette tâche la Femme affirme et assume sa Supériorité. En l’acceptant l’homme reconnaît :

  • La supériorité du sexe Féminin et des valeurs Féminines.
  • Sa soumission à Celle qu’il nettoie ainsi.
  • Un amour vrai pour la Femme dans tout ce qu’Elle est et pas seulement pour son image "glamour".

Une fois la notion de d’interdit dépassée (des deux côtés) la Femme offre ainsi à l’homme ce qu’Elle a de pire (Des sucs et odeurs dont Elle se passerait volontiers) mais aussi ce qu’Elle a de meilleur (Ce qui fait l’essence de sa Féminité). Mieux tout ce qui est lié à son hygiène intime ne sera plus source de honte mais au contraire de plaisir. Plaisir de donner, plaisir d’humilier, plaisir de sentir une langue caresser ses Nymphes, éponger son méat ou fouiller son Vagin pour dissiper des odeurs ou l’inconfort d’une trop grande humidité à chaque fois que le besoin s’en fera sentir..

Une fois qu’il n’y a plus de tabous, il n’y a plus de limites et la langue de l’homme peut faire office de gant de toilette aussi bien pour nettoyer la cyprine, les trace d’urine au sortir des toilettes, les règles ou tout liquide endogène produit par le corps Féminin.(A ce propos une langue peut aussi servir à nettoyer la transpiration des pieds ou des aisselles par exemple!…)

Le cas des règles est particulièrement intéressant. C’est souvent le dernier tabou à faire tomber (surtout au regard de la Femme) mais il apporte deux réels avantages. Le premier physique : Des études ont prouvé que dans l’immense majorité des cas une stimulation sexuelle favorisait leur écoulement et diminuait de façon sensible les maux (notamment de ventre) qui y sont souvent liés. Le second d’ordre plus psychologique : Les règles sont riches en œstrogène et les offrir au soumis est un moyen de le nourrir d’hormones Féminines capables de combattre – même de manière homéopathique – les effets de sa testostérone.

Qu’elles soient exclusivement clitoridienne ou pas, ces toilettes donneront à la Femme l’occasion d’enrichir son plaisir sexuel, de multiplier ses orgasmes ou ses jouissances et de renforcer son autorité sur l’homme. A chaque fois qu’il les pratiquera l’homme tombera en effet dans un état de soumission fort. Elles pourront donner l’occasion de mettre en place des rituels : La toilette du réveil, celle du retour du travail, celle de l’essuyage après avoir uriné, etc…Dans tous les cas, ces échanges, aussi pervers soient-ils, permettront par leur fréquence et leur intensité, d’atteindre une forme d’intimité, rare, unique au sein du couple.
Un autre liquide exogène – celui-là – peut se trouver au creux d’un Vagin : La semence masculine. Le comble de la soumission masculine est de devoir nettoyer le sperme déposer par un amant dans le ventre de sa Maîtresse, surtout si Elle lui interdit toute forme de pénétration ou de jouissance dans son corps. Il se sentira deux fois plus cocu et cette acceptation ultime de sa soumission comblera souvent d’aise une Femme et renforcera son autorité. Il existe toute une littérature à ce sujet (Le fameux "creampie" en anglais) mais force est de constater que les impératifs de sécurité liés au SIDA rendent cette pratique pour le moins délicate voire dangereuse. Néanmoins – si c’était possible – tout vrai soumis devrait expérimenter – au moins une fois – cette tâche pour sa Maîtresse, l’évocation postérieure de cette action suffisant généralement à lui rappeler son statut.

Toilettes

Une fois l’intimité établie une Maîtresse sera en droit d’exiger que la bouche de son soumis puisse lui servir parfois de toilettes (Je parle toujours de ce qui provient de son sexe), pour marquer son territoire et affirmer sa Supériorité.
Si j’imagine que – pour de multiples raisons – cette activité ne serait pas quotidienne, une fréquence moyenne de 2 à 3 fois par mois me semble raisonnable.

Je n’aime pas les euphémismes de "champagne" ou "douche dorée" (Même si je les emploie lors de traductions). Puisque son liquide est sacré aussi bien pour la Maîtresse que pour son soumis dans une relation D/s, pourquoi ne pas employer les vrais mots comme urine, pisse ou pipi ? De la même manière pourquoi la Maîtresse pour son plaisir ou pour humilier plus son soumis hésiterait-Elle à le nommer urinoir, toilettes, pissotière voir chiotte lorsqu’Elle l’utilisera comme tel.

Si les mots permettent d’abaisser d’avantage le soumis dans le côté humiliant qui caractérise cette tâche il ne devra pas non plus en oublier le caractère gratifiant, la Maîtresse lui offrant quelque chose de très personnel, fabriqué par son corps, de l’urine certes mais aussi un nectar Divin puisqu’Elle est Déesse à ses yeux. A ce titre il devra la remercier pour ce "don" qu’Elle lui fera (Comme lorsqu’il l’essuiera bien sûr)

Bref même si cette tâche ne devait pas être quotidienne elle devrait se caler sur le quotidien de la Femme c’est à dire être pratiquée non seulement l’après midi après un thé (comme j’ai pu en faire l’expérience) mais aussi parfois le matin au réveil lorsque le pipi est plus concentré et donc plus odorant pour que l’homme puisse sentir (et apprendre à apprécier) toute la complexité du fonctionnement de Son corps.

Parallèlement la Femme pourra en profiter pour expérimenter les positions qui la satisferont le plus : Debout – comme un homme – le soumis à genoux (sachant que ce dernier – ironie du soir – doit s’asseoir à cause de sa cage), accroupie comme au bord d’un chemin de campagne, allongée dans son lit le matin, ou sur un trône conçu à cet effet, l’essentiel étant de rendre la chose plaisante et ludique. Elle pourra également expérimenter le fait de recevoir un orgasme lingual, en négligeant de passer par les toilettes pour soulager auparavant sa vessie, sans risque autre que de s’épancher dans une bouche conçue à cet effet.

Puisque son urine est sacrée la Maîtresse pourra aussi – c’est évident – l’utiliser pour doucher son soumis ou comme l’utiliser comme base à la préparation d’un lavement.

 

Ridicule

Je l’avoue j’ai un sexe de taille ridicule (entre 5 et 8 cm au repos et 10 cm en érection alors que la moyenne est d’environ 15 cm pour un européen) qui se situe dans la tranche des 2% les plus petits par rapport à l’ensemble de la moyenne des mesures scientifiquement faites.

Sachant que 85 % des femmes se contentent de la taille du sexe de leur partenaire, j’imagine que je pourrais aisément faire partie des partenaires non satisfaisants pour les 15% restantes.

Si la taille de mon sexe n’a aucune influence sur le fait que j’ai des pulsions comme tout homme, j’imagine volontiers que dans de nombreux cas elle puisse être un frein au plaisir que je pourrais apporter à une femme (sauf une petite puce, jeune et au vagin étroit, ce qui m’a sauvé parfois).

C’est pourquoi mais si je n’en fait pas un préalable – c’est après tout elle qui décide – j’imagine qu’il y a une forte probabilité pour que ma future Reine pour éviter toute frustration me refusera toute forme de pénétration (ce qui a de nombreux avantages par ailleurs) et me fera cocu.

Peut-être serai-je ainsi plus respectueux de sa Féminité mais en tout cas cela ne m’empêchera pas de l’aimer tout autant que dans une relation traditionnelle.

Poème du matin

Bottée, gantée de cuir, une robe de satin,
Couvrant des bas de soie, une culotte en dentelle,
Elle se sent très Femme et terriblement belle
Et de plaisirs charnels elle a soudain très faim.

Allongé devant Elle, soumis, nu, épilé,
Petit mâle humilié gisant là à ses pieds,
Lui qu’elle aime ainsi voir et qu’elle a éduqué
A rendre chaque jour hommage à sa féminité.

Elle se sent Déesse et si elle en doutait
Un regard à ses pieds et un zizi dressé,
Lui rappellerait sans doute le pouvoir dont elle use
Sur celui programmé qui en a fait sa muse.

Elle soulève sa robe et offre à son regard
Cet écrin de dentelle qui la protège encore.
Elle descend doucement, ses jambes de part en part,
Pour lui offrir ainsi la douceur de son corps.

Elle aime prendre son temps et sentir ses baisers
Sur ce morceau d’étoffe aux reflets irisés
Qui cache ce vagin, petit jardin secret,
Triomphe féminin de la fécondité.

Elle profite à l’instant de sensations prégnantes
Mais ne va pas tarder à ôter cette barrière,
Pour mieux sentir sur l’intimité de ses lèvres
Le contact charnel d’une langue obéissante

Elle le pousse de la voix, elle veut se sentir Reine
Qu’il embrasse ses fesses qu’il lèche son anus !
Hommage pitoyable qu’il rend à sa Vénus,
Le sentir inférieur, pour qu’elle jouisse sans peine.

Elle veut le sentir boire les nectars qu’elle lui donne,
Qu’il hume les odeurs qu’elle a crée pour lui
En pensant il y à peu à ce moment qu’elle vit,
Qu’il lave de sa langue sa délicieuse aumône.

Et passent les minutes en étant accroupie
Sur cette bouche ouverte qui lui sert de bidet
Voir même peut être plus , elle pourrait faire pipi
Puisqu’elle à tous les droits et qu’il n’est que laquet

Et passent les minutes, elle sent que se rapproche
Le moment attendu qui va la délivrer.
Elle s’abandonne enfin à le traiter de salope,
A l’humilier encore pour se sentir plus forte.

Et passent les minutes, ses jambes l’abandonnent.
Elle sent ce doux moment ou tout son corps frissonne.
Elle jouit de tout son saoul en s’écrasant sur lui,
Qui reste sur sa faim, il n’a pas joui… tant pis…..