" Maintenant que je t’ai aidé à te relooker pour tout ce qui concerne la partie publique de tes activités nous allons nous occuper de la partie privée. Je t’avoue que les modifications que j’entends mettre en place seront plus radicales afin que nous puissions explorer ce que j’estime être ta vraie nature. Prends tes paquets et mon sac à main. Je t’emmène dans un magasin de lingerie que tient une de mes Amies. "
Sans la queue, sans les mains, lui apprendre à n’être qu’une langue à son service.
" Quand je te disais que je vivais avec un petit garçon ce n’était pas qu’une métaphore. Tu comprends maintenant pourquoi j’ai parfois besoin de sortir avec de vrais hommes. "
" Ce n’est généralement pas la période préférée d’une Femme mais pour un homme comme toi ça pourrait le devenir. Ca veut dire que tu ne seras pas cocu cette semaine et que j’aurai plus de temps à te consacrer pour te donner l’occasion de vénérer ce qui fait l’essence de ma Féminité. "
" Le corollaire de ta cage de chasteté c’est l’obligation de ne pouvoir te branler qu’en ma présence. Je trouve ça gratifiant pour toi comme pour moi. Tu peux également trouver ça humiliant mais, dans ce cas, commence à chercher un mot pour qualifier ce que ce sera lorsque j’inviterai une Amie à partager ce spectacle que tu m’offres. "
"M’admirer alors que tu ne peux pas bander à cause de ta cage de chasteté, que tu sais que tu n’as aucune chance de jamais pouvoir me baiser et que je te fais cocu, je me dis que j’ai de la chance de vivre avec un homme qui doit vraiment m’aimer pour supporter tout ça. "
" Je sais que tu n’es pas très mec mais peut-être aimerais-tu que je te prête sa langue une fois que tu auras fait pipi. "
" Je n’aime ni attendre ni être prise au dépourvu donc tu devras désormais toujours avoir sur toi un tampon, au cas où, mon rouge à lèvres préféré et un briquet. "
" Avoue. Combien de fois t’es tu branlé en imaginant que tu ne pourrais plus le faire sans que je te retire ta cage de chasteté ? "
" Ma foufoune a besoin de la reconnaissance et des bisous d’un amoureux cocu qui ne la possédera jamais. "
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