Une règle ordinaire pour la plupart des chevaliers : ne jamais se branler sans l’accord et la présence de leur Reine.
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Superiorité
Position vs activité
Vilain petit garçon
Encouragements
Fin de repas
Non !
" Non mon amour ! Tu sais bien que le fait que nous soyons mariés ne te donne aucun droit de cuissage sur moi. Tu as accepté ta chasteté et MA liberté comme conditions à notre union. Ta frustration de ne pouvoir me faire l’amour me rend plus désirable à tes yeux et l’humiliation d’être cocu te rend plus soumis. C’est ce que nous voulions tous les deux et jamais je ne mettrai en danger l’équilibre de notre couple en t’accordant une satisfaction passagère. "
" Maintenant laisse-moi seule. Je t’appellerai quand j’aurai besoin de toi. "
Anti-salissure
Sous prétexte d’éviter tout débordement et toute salissure lorsqu’il jouira, une Reine peut lorsqu’Elle branle son chevalier lui faire porter un préservatif.
Pour peu qu’Elle soit un tantinet perverse (ce qui est généralement le cas) Elle aura tout intérêt à lui en faire porter un dont la taille sera manifestement sur-dimensionnée par rapport à la taille de sa quéquette, tout en lui faisant remarquer que l’effet de flottement induit rend les choses plus compliquées pour Elle.
En réalité cet effet de flottement aura plus d’impact sur son chevalier :
- Il rendra son plaisir sexuel moins intense que si la capote était bien ajustée (ou mieux que s’il n’avait pas eu de capote).
- Il le renforcera dans l’idée que comme il le pensait et/ou lui avait déjà suggéré sa Reine, la taille de son zizi est définitivement inappropriée pour la satisfaire.
S’en remettre à Elle
Une fois la relation, l’empathie et la confiance réciproque bien établies et pour prouver son amour et sa soumission, un chevalier doit être capable d’accepter non seulement la complète liberté sexuelle de sa Reine mais aussi qu’inversement Elle contrôle sa sexualité à lui, ce quels que soient les moyens employés.