Une règle comme une autre mais écrite au rouge à lèvres, rappelant que c’est bien le Féminin qui l’emporte sur le masculin et que donc la règle est juste et non négociable.
Petite culotte offerte par une Reine à son chevalier pour lui rappeler que, si son absence de virilité (ici manifeste) est rédhibitoire pour certaines activités, elle attend avant tout de lui qu’il lui offre son cœur sans retenue en manifestant par son respect, son obédience, son humilité et sa dévotion, la pureté – et le caractère inconditionnel – de l’amour qu’il Lui porte.
"Dis moi : on dirait que tu as la quéquette toute dure. C’est ma tenue qui t’excite, le fait d’être nu devant moi, parce que j’ai gardé mes gants et que tu aimerais que je te branle ou autre chose ? Tu sais que tu dois tout dire à ta Maîtresse. Approche-toi et raconte-moi tes vilaines pensées de petit garçon !"
A la différence d’un homme dont la jouissance est pour la plupart du temps et brève et relativement pauvre, une Femme dispose d’un corps infiniment plus sensible qui la conduit, lorsqu’Elle oublie ses soucis quotidiens et lorsqu’Elle est bien servie, à profiter d’orgasmes magiques.
Lorsqu’Elle est Reine, une des principales tâches de son chevalier est donc de lui offrir ces orgasmes, aussi souvent qu’Elle le désire et ce par tout moyen, notamment avec sa langue ou son sexe.
Si, par principe pour garder de la distance en refusant de se donner à lui, et/ou parce que son sexe serait d’une taille insuffisante pour la satisfaire, il ne pouvait pas lui donner du plaisir en la pénétrant, il devrait alors accepter que d’autres se substituent à lui pour la satisfaire ainsi.
Une Reine en jupe (symbole de la Féminité) de cuir (symbole de son pouvoir) donc affichant sa supériorité face à son chevalier nu en signe de soumission.
Puisqu’une photo est par définition figée, difficile de savoir si la bandaison de sa quéquette est due à simulation préalable de sa Reine ou à l’excitation de se sentir ainsi humilié par une Femme qui sait naturellement s’imposer à lui.