A en juger par son regard fatigué et l’état de sa culotte, cette Reine a du avoir une soirée bien agitée.
Précautionneuse et afin de ne pas tacher ses draps, elle attend néanmoins avant d’aller se coucher, que la langue de son chevalier vienne débarrasser son intimité de l’excès de semence laissé par son amant.
Puisque, pour tout chevalier qui se respecte, les valeurs liées à l’organe sexuel Féminin sont infiniment supérieures à celles liées à l’organe sexuel masculin, recevoir sur son zizi une douche provenant de l’intimité de sa Reine devrait être vu – une fois la période de dressage ayant pour but de casser son ego bien avancée – moins comme l’humiliation de se faire pisser dessus que comme une gratification et un honneur qui lui est fait.
Qu’Elle juge son zizi inadapté et/ou le fait qu’Elle ait compris l’intérêt de le garder chaste, une Reine a plein d’autres moyens de transformer son chevalier en objet sexuel capable de satisfaire non seulement la porte de son intimité mais aussi l’intérieur de cette dernière.
Lorsqu’une Reine aime être sodomisée par un amant Elle peut, suivant sa position, laisser son intimité offerte à la langue de son Chevalier et doubler ainsi son plaisir.
Lorsqu’une Maîtresse a décidé de se promener avec son amant et son soumis, ce dernier doit savoir gérer la frustration de les voir s’embrasser et la crainte de croiser des amis qui sauraient alors qu’il est cocu.
Lorsqu’une Reine hurle son plaisir en atteignant l’orgasme, il est parfois difficile pour son chevalier de croiser le regard de ses voisins qui entendent des vocalises alors qu’il n’est pas chez lui.
Quand bien même il n’existerait pas de règles formelles concernant la manière dont le chevalier devrait accueillir sa Reine à son retour chez Elle, il y a des jours où Elle lui signifie clairement son impatience à ce qu’il vienne lui baiser les pieds.
Un regard, l’attitude, un détail vestimentaire (ici des cuissardes) voire quelques paroles bien senties pour que la vendeuse (c’est souvent plus amusant pour une Reine et plus humiliant pour son chevalier que face à un vendeur) n’ait aucun doute sur le fait de qui est le "boss" dans le couple et que, même s’il s’agit de lui acheter des vêtements à lui, c’est Elle qui décide lesquels.
L’acceptation d’humiliations en public (légères – il ne s’agit pas de choquer – mais non équivoques) fait partie de l’éducation d’un chevalier, parce qu’il est finalement souvent plus facile (voire excitant) d’assumer sa soumission en privé (quels que soient les actes demandés) que face à des tiers.
Traduction d’un texte plutôt destiné aux hommes mais qui pourra intéresser les Femmes quant à la psychologie de ces derniers et les signes qui font qu’un homme puisse avoir des tendances soumises.
Vous êtes curieux au sujet de la cocufication, mais vous n’êtes pas sûr que cela vous concerne réellement ou que vous pourries être considéré comme un cocu ? Voici quelques signes (ou questions) qui vous aideront à répondre à cette question.
Le fait que vous lisiez cet article devrait déjà être un premier indice, mais néanmoins, voici quelques autres signes …
Voila, si vous pouvez répondre oui à plus de deux questions c’est que vous êtes (ou pourriez être) un parfait cocu pour Elle.
Si une Reine peut souhaiter avoir un chevalier à l’apparence très masculine en public, que ce soit pour l’esthétique mais aussi pour son aura (Il est plus valorisant vis à vis de tiers) elle a tout intérêt à casse son ego de mâle à l’intérieur de leur relation.
La parole (les mots et le ton employé) est un formidable outil de conditionnement pour le faire parce qu’elle est précise et peut être employée à tout moment et en tout lieu.
Ainsi une Reine pendant la phase d’éducation aura tout intérêt à utiliser la parole pour conduire son chevalier à la soumission qu’Elle attend de lui.
Les phrases et le ton pourront être doux (D) ou Cassant (C) suivant son humeur et l’avancée du dressage de ce dernier.
Ainsi par exemple :
Bien sûr la liste est non exhaustive et chacune saura employer les mots qui lui semblent les plus appropriés suivant les situations.
L’alternance de phrases douces ou cassantes permet à la Reine de mettre en place un processus de construction/destruction destiné à son chevalier.
La douceur pour le construire et l’aider à accepter sa soumission, la dureté pour détruire son ego de mâle. En d’autres termes les réflexions douces sont là pour rassurer le chevalier quant à l’amour que lui porte sa Reine et les réflexions cassantes pour lui faire perdre confiance quant à sa (prétendue donc…) virilité.
Ce dernier point l’aidera à reconnaitre la supériorité de sa Reine à travers sa féminité puisqu’il n’aura rien à lui opposer en retour.