Quel que soit l’amour qu’Elle porte à son chevalier, il y a des moments où – même en sa présence – une Reine oublie totalement qu’il existe, en se donnant sans retenue à un autre.
Même si l’utilisation d’un tel accessoire ne fait pas partie de la vie courante d’un couple D/s, faire porter à son chevalier une cage de chasteté lorsqu’elle est (seule) avec son amant revêt de multiples avantages pour une Reine.
En effet, lorsqu’il sait qu’Elle est avec ce dernier son cocu consentant va ressentir de la frustration, de la jalousie (surtout s’il n’a pas le droit de lui faire l’amour), de l’humiliation mais aussi une forte excitation liée à cette dernière et à l’idée de la savoir dans les bras d’un autre.
Cette excitation risque, dès qu’Elle sera partie, de le pousser à d’abord se toucher puis, ne pouvant plus se contrôler, à se branler jusqu’à jouir (voire à le faire plusieurs fois) conduisant sa libido à se trouver définitivement en berne.
A ce moment là, tous les sentiments qui l’envahissaient disparaissent et – à défaut d’oublier totalement sa Reine – il sera apaisé et pourra s’endormir en paix.
Or le plaisir ressenti par une Reine avec son amant sera d’autant plus fort qu’Elle pourra imaginer, en lui faisant l’amour, la torture psychologique qu’elle impose ainsi à son chevalier. Savoir qu’il pourrait ne pas penser à Elle serait alors source de frustration.
Même si leur relation est fondée sur la confiance, le doute – au moins dans ce cas là – risque de l’emporter sur les certitudes et de gâcher ce plaisir annexe mais puissant de la Reine.
La cage de chasteté est donc un moyen qui prévient toute tentation de "tromperie" de la part du chevalier et rassure la Reine quant au fait que toutes les pensées de ce dernier seront tournées vers Elle jusqu’à son retour.
Avantage annexe : elle permet de renforcer le contraste qui existe entre les droits et devoirs de chacun puisqu’au moment même où la Reine exprime sa liberté sexuelle, le chevalier – lui – ne peut même pas toucher son propre sexe.
S’il est politiquement correct pour une Femme de dire que la taille d’un pénis importe peu, pour certaines Reines à la libido développée, il ne saurait être question de se satisfaire d’un objet dont la taille est largement inférieure à la moyenne.
Ainsi, lorsque son chevalier a été mal doté par la nature, il est rare qu’elle utilise cet objet (malgré tout sexuel) comme objet de plaisir.
En contrepartie elle pourra l’utiliser comme objet ludique et cible de ses moqueries (franches) ou taquineries (tendres) en vue d’humilier son propriétaire, de renforcer son complexe (souvent déjà existant), de casser son ego de mâle et de le conduire à comprendre que puisqu’il n’a aucune virilité à lui opposer, il doit accepter l’autorité Féminine comme une chose évidente – et nécessaire – dans leur relation de couple.
Superviser les branlettes de son chevalier a pour une Reine de multiples avantages.
Parmi ceux ci : le mettre dans une situation très humiliante bien sûr (surtout s’il est chaste et que c’est pour lui le seul moyen de jouir) mais aussi d’empêcher que son esprit vagabonde (au risque de la tromper même virtuellement) et donc s’assurer que tous ses fantasmes masturbatoires soient uniquement tournés vers Elle.
Ce n’est pas parce qu’un homme a une apparence très viril, qu’il ne cache pas sous son pantalon un zizi de petit garçon incapable de satisfaire pleinement l’appétit sexuel de sa Femme.
En bon chevalier – lorsqu’il l’est – il doit accepter que d’autres hommes se substituent à lui, afin de ne pas frustrer sa Reine de plaisirs qu’il ne saurait lui offrir.
Il n’y a encore pas si longtemps, lorsqu’un enfant avait besoin d’être calmé, on lui passait la tête sous une douche d’eau froide.
Aujourd’hui une Reine peut sensiblement utiliser la même technique (que ce soit pour le "calmer" ou lui rappeler son devoir d’humilité) envers son chevalier mais en utilisant un autre instrument bien plus humiliant et plus aspergeant (tout en ne redoutant pas des projections d’eau qui l’atteindraient Elle).
Si le bol des toilettes doit être propre (dépourvu de germes) rien ne l’empêche de le remplir d’urine juste avant (comme sur la photo ?) de tirer la chasse d’eau et – dans un second temps – de procéder (ou non) à un rinçage à l’eau claire.
"Désolé mon chéri mais tu n’aurais pas dû me provoquer en ne m’en estimant pas capable quand je t’ai dit chiche ? Du coup tu m’as bien motivée et je vais le faire tout de suite, ici, en pleine nature. Je vais offrir à notre ami ce que tu n’auras jamais : la douceur de ma bouche emprisonnant son sexe, et ce devant toi. Puisque tu m’as tendu la perche et donner toi même l’occasion de t’humilier, je veux que tu me regardes faire jusqu’au bout."