Lorsqu’une Reine utilise un kleenex pour nettoyer le trop plein du sperme que vient de déposer un amant dans son sexe, c’est généralement parce que son chevalier n’est pas là.
Rien ne l’empêchera bien sûr, lorsqu’Elle sera de retour chez Elle, d’utiliser sa langue pour procéder à la finition de cette toilette sommaire.
Un chevalier bien dressé ne demande jamais "pourquoi ?", lorsque sa Reine lui demande de se déshabiller en pleine journée, mais se contente d’obéir à cet ordre.
"Mon amour, ne penses-tu pas que mon amant va me trouver belle à croquer ce soir ? Viens embrasser mes fesses pour me montrer comme tu es fier de moi et me prouver que ton amour, ta dévotion et ta soumission ne sauraient être obscurcis par le fait que je te fasse cocu…"
Au début de leur relation et durant sa phase de dressage, il peut être bon pour une Reine d’inviter parfois son chevalier à la regarder faire l’amour à un amant tout en lui demandant de se branler.
Ainsi à terme, qu’il soit présent ou non, son zizi encagé ou pas, il y aura confusion dans son esprit entre l’humiliation d’être cocu et sa propre excitation sexuelle à cette idée.
Une fois la chose acquise, il deviendra beaucoup plus facilement complice de sa Reine lors de sa préparation à ses rendez-vous, voire même pourra aller jusqu’à l’encourager à les multiplier.
Ce n’est pas parce qu’un chevalier est incapable de satisfaire sexuellement les besoins de sa Reine que cette dernière ne souhaite pas partager émotionnellement ses orgasmes avec lui, quand bien ce serait d’autres hommes qui les lui procureraient physiquement.
Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.
En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.
La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.
"Mon amour, puisque tu serais bien incapable de me satisfaire avec la petite quéquette qui te sert d’attribut sexuel, et puisque aucun de mes amants n’est disponible ce soir, je te propose d’essayer de me donner du plaisir avec ce god. Bien sûr ce ne sera pas pareil mais au moins auras tu l’occasion de me remplir le ventre, même par procuration."
Il arrive parfois qu’une Reine confie à son chevalier une culotte tachée de sperme afin qu’il la nettoie. Dans sa grande bonté – mais aussi pour accroitre sa frustration – Elle pourra également de temps en temps autoriser ce dernier à – lui aussi – en salir une avec sa propre semence au cours d’une de ses branlettes.
Bien sûr la tâche sera moins concentrée et sans doute pas vraiment placée au même endroit, puisque le liquide issu du jet ira directement du zizi à la culotte, sans passer par le vagin de sa bien aimée.
Lorsqu’une Reine reçoit une autre Reine ou une amie suffisamment intime pour être au courant de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier sans en être choquée, l’une ou l’autre peuvent, par une petite caresse condescendante sur ses fesses nues, l’encourager à être parfait lorsqu’il les sert.
Refuser son intimité à son zizi, à ses mains, à ses doigts mais exiger sa langue pour qu’il la nettoie de tous les sucs qu’elle recèle, quelle que soit leur origine.
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