Une Reine peut convier son chevalier à ses ébats avec un amant pour de multiples raisons dont celle de lui montrer que ce n’est pas parce qu’Elle lui refuse certains privilèges qu’Elle est en manque d’expertise ou d’appétence concernant ces derniers.
Faire porter à son chevalier une petite culotte et lui dire qu’il est joli (terme qui s’accorde plutôt au Féminin) plutôt que beau (terme plus destiné à un homme) va quelque part le rassurer, puisqu’il ne se sentira pas totalement ridicule, mais également l’inquiéter, puisque dans son esprit un homme n’est pas fait pour porter des sous vêtements Féminins et encore moins pour qu’ils le mettent en valeur.
" Merci pour la rose. Maintenant voyons ce que tu peux m’offrir d’autre. Pour commencer déshabille-toi ! "
Quitte à l’humilier en public, une Reine n’attend pas d’être rentrée chez Elle pour avertir son chevalier que son comportement l’agace.
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Un sujet qui reste encore tabou pour de nombreuses Femmes mais qui fascine plus d’hommes qu’on ne le croit. A défaut d’aborder le "problème" frontalement, il est toujours possible de le contourner pour continuer à honorer sa Reine pendant cette période.
A chaque Reine ses priorités. Pour certaines elles tiennent dans le contrôle qu’Elles peuvent exercer sur leur chevalier. Contrôle de son esprit, de son corps, de sa sexualité et de son comportement.
Si ce contrôle réclame de la pédagogie, de l’empathie (voire une certaine tolérance parfois), il leur permet de prendre l’ascendant sur lui et de le rendre naturellement dépendant de leur volonté dans ce qui fait l’essentiel de sa vie.
Quand un chevalier est bavard au point d’indisposer sa Reine en public, celle-ci peut – en privé – lui démontrer sa capacité à aussi contrôler sa parole (tout en gardant sa langue disponible) afin de lui apprendre à modérer ses ardeurs lors de leurs prochaines sorties.
A défaut d’accorder à son chevalier (même lorsqu’il est son mari) le privilège de la pénétrer, une Reine peut lui accorder celui de nettoyer son intimité après qu’un autre homme y eut déposé ses hommages.
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La honte de sentir dans le regard de sa Reine de la condescendance plutôt que de l’excitation.
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Beaucoup des Femme ont la nostalgie plus ou moins grande de l’époque où petites filles elles jouaient à la poupée.
Une Reine peut facilement utiliser son chevalier comme modèle dans des jeux plus ou moins élaborés où il tient lieu de poupée vivante mais également obéissante donc parfaite pour ce type d’activité (qui peut aller de la féminisation light à la création d’une vraie poupée qui – prodige de la modernité – fait pipi au lit et doit porter des couches pour ne pas salir les belles tenues que lui fait porter sa Maîtresse)
