Lorsqu’un chevalier accepte que son zizi serve de repose pieds aux bottes de sa Reine, cette dernière sait qu’elle a prit le pouvoir sur lui puisqu’il reconnait que sa virilité à moins de valeur que des objets (symboles de son pouvoir comme ici) qu’elle porte.
Archives du mot-clé Féminité
Femme parfaite ?
Coquine ou avisée ?
Infidélité féminine
En parcourant un blog D/s de langue anglaise, j’y ai appris que le terme « cuckolding » que l’on pourrait traduire par cocufiage ne s’applique qu’aux hommes. Qu’un homme soit fidèle peut être considérer comme naturel, qu’une Femme ne le soit pas, surtout lorsqu’Elle est Dominante, est de plus en plus admis.
Une Femme Dominante aime un homme soumis pour son obédience mais rarement pour sa virilité, qu’Elle peut avoir envie de retrouver chez d’autres. Par ailleurs beaucoup refusent toute forme de pénétration sexuelle de la part de leur conjoint soumis. Accepter de faire l’amour, c’est accepter de se donner, d’être « prise », d’offrir du plaisir au mâle sans pouvoir le contrôler, c’est lui offrir, au moins le temps de l’acte, quelques instants de supériorité. Se refuser, c’est garder de la distance, se rendre inaccessible, faire de sa vulve un objet sacré qui devra être vénérer par la langue du soumis mais dont le vagin restera interdit, objet de tous les désirs mais d’aucun plaisir. Se refuser c’est aussi contrôler la sexualité et les orgasmes de son partenaire.
Bien sûr, si la pénétration n’est souvent pas un acte fondamental dans le plaisir Féminin, son absence peut parfois engendrer de la frustration. La Femme peut dans ces cas là utiliser ou demander au soumis de la faire jouir avec un vibromasseur ou des gadgets sexuels. Elle peut aussi lui faire porter un étui pénien qui privera le sexe du soumis de toutes sensations et se faire prendre ainsi en étant sure d’être la seule à avoir du plaisir. Elle aura malgré tout parfois envie d’une vraie relation sexuelle qui passera par des relations avec des amants, ce qui au dire de certains psychologue est tout à fait normal.
Le soumis ainsi cocu sera d’autant plus frustré de ne pouvoir faire l’amour à sa Maîtresse qu’il saura qu’Elle accepte de le faire avec d’autres et il sera d’autant plus humilié qu’il sera touché au plus profond de son ego et de sa virilité. D’un autre côté il ne pourra être jaloux puisque sa Maîtresse ne fera que profiter de plaisirs qu’il ne peut lui donner. Puisque, pour un soumis le plaisir sexuel de la Maîtresse compte avant le sien, il ne pourra se plaindre de la voir heureuse même si c’est dans les bras d’un autre. Il devra au contraire s’en féliciter et la remercier d’accepter de prendre des amants pour préserver la qualité de leur relation.
Être cocu c’est pour le soumis un merveilleux moyen de prouver la profondeur de son amour, la pureté de ses sentiments, de reconnaître que la Femme qu’il aime n’est pas sa propriété, qu’Elle est objet de désir mais pas de plaisir mais surtout qu’Elle est libre de vivre comme Elle l’entend et pas comme lui le désirerait.
D’un autre côté ce genre de pratique est souvent la dernière étape avant une rupture définitive dans une relation traditionnelle. La Maîtresse devra donc aussi rassurer le soumis sur ses réelles intentions le concernant et l’amour qu’Elle lui porte (Bien sur s’il n’y a pas d’amour le fait qu’Elle ait ou non des amants ne changera pas la qualité de leur relation).
Une fois que le soumis cocu aura accepté son nouveau statut parce que la Maîtresse y gagnera du plaisir et que lui ne perdra rien sauf ce qui lui restait de son honneur de mâle la relation prendra un tour nouveau bien évidemment.
Faire de son mari ou partenaire un cocu respectueux de sa liberté sexuelle et cela sans contre-partie donne à la Femme encore plus de Supériorité, dans son couple mais aussi vis à vis de son entourage ou de ses amies. Inversement le cocu sera non seulement bafoué dans le peu de virilité qu’il lui restait mais aussi humilié aux yeux de tous ceux mis au courant, avec un certain plaisir en général, par sa Maîtresse.
Au delà de cet aspect la Maîtresse pourra faire participer le soumis de manière indirecte ou directe à son propre cocufiage. Elle pourra par exemple lui demander de l’aider à se prépare avant un rendez-vous, lui raconter, lui dire le plaisir qu’Elle aura pris ou celui qu’Elle aura donné à son amant, se faire lécher ou nettoyer à son retour si le rapport était non protégé (Dans le cas contraire Elle pourra ramener le préservatif usagé et le vider de son sperme sur une partie de son corps, ses bottes, sa culotte, que le soumis pourra laver de sa langue).
Pire, Elle pourra présenter son ou ses amants à son soumis Bref, avoir des amants, pour une Femme Dominante est non seulement une source de plaisir physique mais aussi un moyen d’augmenter son emprise cérébral sur son soumis.
Prière
J’aimerais être éduqué par vous ma Reine à :
- Perdre tous mes repères et oublier ma condition de mâle.
- Reconnaître la supériorité des valeurs féminines.
- Respecter et honorer votre esprit et votre corps de femme.
- Etre l’esclave de votre sexe, apprendre à le connaître, le vénérer, lui donner du plaisir, le nettoyer de ma langue, à en aimer toutes les sécrétions, tous les goûts, toutes les odeurs…
- Devenir amoureux fou de ce vagin qui vous rend si supérieure.
- Accepter que mon propre sexe soit épilé, maîtrisé et contrôlé dans toutes ses fonctions même s’il devait être en cage parfois pour prouver mon obédience à votre égard.
- M’offrir nu ou dans des tenues équivoques et n’avoir plus aucune intimité devant vous ou vos Amies.
- Baisser les yeux en signe de respect ou offrir mon regard lorsqu’il sera empli de honte.
- Baiser vos pieds, vos bottes, vos culottes ou tout ce que vous aurez porté parce qu’ils sont symboles de votre féminité.
- Téter votre poitrine Divine, embrasser vos fesses de Déesse, lécher votre anus de Vénus.
- Accepter les humiliations de tous ordres pour reconnaître ma faiblesse face à votre volonté et mon humilité à votre égard.
- Obéir à vos désirs sans rien attendre en retour que la satisfaction que vous éprouverez à me rendre servile.
- Me comporter comme une poupée de chair pour votre plaisir en oubliant le mien.
Votre chevalier très dévoué.