Conditionnement par la fessée

Si la fessée peut être un moment ludique pour une Reine, c’est aussi un moyen de conditionner son chevalier à accepter de se sentir dans la peau d’un petit garçon face à Elle et donc de lui obéir et de la respecter. En effet, c’est moins la douleur des coups, que la situation humiliante dans laquelle il se retrouve ainsi qui est cuisante pour lui.

4 réflexions au sujet de « Conditionnement par la fessée »

  1. Bonjour à Vous !

    Je viens pour la première fois visiter votre site auquel je souhaite longue vie !
    Je suis tombé par hasard sur le texte de Miss E. Sutton. C’est assez juste ce qu’elle rapporte. En effet ,c’est difficile pour certains hommes d’avouer à une femme dans l’intimité qu’ils préfèrent qu’ « elle mène le jeu » !! On est parfois embarassé car par peur du refus on cache ce « désir » ou on choisit de l’exprimer « à mots couverts » par le visionage d’une vidéo de domination féminine.
    Ce « besoin de punition » prend souvent racine dans l’éducation reçu dans sa propre jeunesse. Perso, ma Maman, d’origine italienne, donc très Mère-poule , avait une conception très nette de l’éducation des enfants . « Pas d’éducation sans fessées !  » répétait-elle souvent.Elle attachait beaucoup d’importance entre autre (outre la politesse) à la réussite scolaire. Aussi toute mauvaise note en classe nous valait une bonne fessée déculottée (à la main)
    en travers de ses jupes plissées (un fétichisme vestimentaire qui accentue le côté « maternisateur » de l’éducation féminine quant on devient un adolescent !). Mon père travaillait en horaires décalés et ma Mère exerçait seule l’autorité parentale (et dans ce cas, ce serait plutôt l’autorité « maternelle »!) Je vous parle d’un temps qui remonte au tout début des années 1970.
    Nous autres, les garçons, sommes très marqués par les relations d’autorité que nous entretenons avec nos Mamans et le resenti de ces situations « punitives » peut développer un irrépressible « besoin » d’être grondé et fessé par des femmes qui peuvent montrer dans leur comportement des signes d’autorité féminine. Dans certains cas, ce resenti conditionne pour la vie nos relations d’hommes avec la
    gent féminine. ( » les fessées des Mamans font grandir les grands garçons!  » disait ma Mère).Tous ces signes pourraient se révéler à l’occasion d’une réunion, d’une quelconque remontrance (qui est super-gênante quant tous les regard se tournent vers vous…) et que sais-je. Les hommes admirent aussi lesfemmes « de tête » qui sont de redoutables rivales dans leurs domaines professionnels.Il en ressort même une sorte de fascination. L’Homme admire toujours la puissance, même chez une Femme. D’où cette nécéssité d’en dépendre qui pointe chez certain d’entre nous. J’avais lu dans un article (le nom du magazine m’échappe) que la psychologie la définisait sous le nom de « viragophile » ( je crois. Mais à vérifier.)
    En somme, notre besoin de fessée éprouvé une fois devenus adultes est à mettre sur lecompte d’une figure féminine de notre jeunesse (Mère , mais aussi Tante, Marraine, Nounou…) qui a fait preuve de trop ou de pas assez d’autorité à notre égard. Vaste débat. Sur ces bonne paroles, je vous souhaite une bonne après-midi. Bien Sincèrement. Charles.
    P.S. : Dans le domaine des fessées F/H : deux excellents sites US : Nuwest-Leda.com et : Scarletthill. com.

  2. Pour qu’un chevalier soit un bon garçon obéissant et aimant nul besoin de justifier la fessée, l’appliquer le matin et le soir : vous verrez qu’il aura toujours une faute à avouer :) rires !

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