Certains regards de Reine peuvent hypnotiser son chevalier au point de lui faire presque croire que c’est à lui qu’elle "taille une pipe" et pas à son amant.
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Sans culotte
D’accord
Sans parole
La langue peut servir à exprimer des sentiments autrement qu’en étant l’outil de la parole.
Ainsi, lorsqu’un chevalier lèche l’anus de sa Reine, cette dernière doit ressentir, la tendresse, la dévotion, l’obédience, le désir d’appartenance, c’est à dire non seulement l’amour qu’il lui porte mais également, vue la partie de son corps qu’il vénère, la reconnaissance et l’acceptation sans réserve de sa supériorité.
Suite logique
Position
Jamais dans cette position (ni aucune autre d’ailleurs), un chevalier au petit zizi ne pourrait donner à sa Reine le plaisir de sentir son vagin plein jusqu’à son utérus, au point de crier de bonheur.
C’est sans doute pour cela (lorsqu’il a un petit zizi) que beaucoup préfèrent lui refuser toute forme de pénétration, afin qu’il ne les déçoivent pas et préfèrent trouver des amants bien membrés pour palier à ses carences sans être frustrées.
Profiter
Pies
Madame Sans Gène
Jouet
Ce n’est pas parce que le zizi d’un chevalier est trop petit pour apporter un quelconque plaisir sexuel à sa Reine qu’il est totalement inutile pour l’épanouissement de leur couple. C’est même tout le contraire.
En le contrôlant, en le tripotant, en l’excitant tout en faisant des remarques désobligeantes sur sa taille et son inaptitude à satisfaire une Femme, bref en le considérant comme un jouet et en humiliant son propriétaire, une Reine conduira ce dernier à être plus vulnérable, plus honteux de son incapacité, plus désireux de la satisfaire autrement, en deux mots plus soumis.
En agissant ainsi régulièrement une Reine aidera aussi son chevalier à accepter le fait d’être cocu voire même de le souhaiter puisqu’il se sentira l’unique responsable de l’insatisfaction de sa Maîtresse.
Ironie de l’histoire, puisque ces tripotages sont malgré – les humiliations liées – physiquement et sexuellement agréables, un soumis est toujours dans leurs attentes et se rend ainsi complice de son propre endoctrinement.