Le mot cocu tient son origine de coucou, un oiseau qui ne construit pas son nid mais squatte celui des autres.
Ainsi un chevalier chaste et cocu, quand bien même il n’aurait pas le droit de déposer ses œufs dans le nid douillet de sa Reine, doit veiller à l’honorer de sa langue mais aussi à le nettoyer afin qu’il reste toujours accueillant et prêt à recevoir un invité.
De l’anglais worship : place of worship signifiant lieu de culte.
Cette image pour rappeler que les fesses d’une Reine sont un lieu qu’un chevalier se doit de respecter, d’honorer, de vénérer et d’embrasser aussi souvent que nécessaire afin que cette dernière sente, qu’à travers cette (douce) humiliation, il reconnait sans limite combien Elle lui est supérieure.
Un chevalier bien dressé sait que l’intimité de sa Reine est non seulement le signe de sa supériorité mais que veiller à son bien être et son plaisir est le pivot de la réussite de leur couple.
Ainsi – quel que soit le moment et sans avoir besoin d’avoir recours à un cérémonial particulier – lorsqu’Elle lui demande de mettre sa tête entre ses cuisses, il comprend instantanément ce qu’Elle attend de lui : être vénérée, léchée, nettoyée dans des moments d’intimité partagée qui sont devenus pour lui les meilleurs moments de la journée.
Enfiler – ou garder – des cuissardes de Dominante avant que son chevalier vienne lécher son intimité, pour lui rappeler que si Elle est sa Reine, Elle est aussi sa Maitresse.
Même si les impératifs de la vie font que chacun doit gérer son quotidien en plus de sa relation amoureuse, il n’est pas (par définition) interdit à une Reine d’appeler son chevalier quelques minutes avant son retour, afin qu’il se prépare à la recevoir avec tous les égards dus à son rang.
" Embrasse mon cul ! "
Quel homme soumis ne rêverait-il pas qu’une telle Femme lui donne cet ordre ?
N’est pas toujours patron celui qu’on croit !
Dans un parc peu fréquenté, une Reine saura toujours trouver un coin tranquille pour donner à son chevalier l’occasion de lui montrer sa dévotion en honorant son intimité.
Nu et à ses pieds, en signe d’humilité, embrassant les bottes de sa Reine pour lui signifier son amour et sa soumission inconditionnelle.
Air (faussement) gêné de cette Reine, qui offre sans gêne la vue d’une petite culotte à l’état douteux pour que son chevalier comprenne qu’il est urgent qu’il vienne nettoyer son intimité.
