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Non !

" Non mon amour ! Tu sais bien que le fait que nous soyons mariés ne te donne aucun droit de cuissage sur moi. Tu as accepté ta chasteté et MA liberté comme conditions à notre union. Ta frustration de ne pouvoir me faire l’amour me rend plus désirable à tes yeux et l’humiliation d’être cocu te rend plus soumis. C’est ce que nous voulions tous les deux et jamais je ne mettrai en danger l’équilibre de notre couple en t’accordant une satisfaction passagère. "

" Maintenant laisse-moi seule. Je t’appellerai quand j’aurai besoin de toi. "

Objet de dévotion

Lors de sa phase de dressage, une Reine a tout intérêt à apprendre à son chevalier à la lécher correctement (c’est à dire comme Elle l’entend, que ce soit pour l’honorer ou la nettoyer) mais aussi à faire qu’il s’approprie l’idée que c’est sa vulve et sa satisfaction qui est le pivot de la réussite de leur couple.

Si de plus Elle le maintient chaste (C’est à dire qu’Elle refuse toute forme de pénétration de sa part lors de leurs rapports amoureux), cette dernière, tout comme le fruit défendu, deviendra encore plus attirante pour lui.

Le sexe de sa Reine devient pour le chevalier non pas un possible objet de plaisir comme c’est le cas pour les autres hommes, notamment ses amants, mais un véritable objet de dévotion créant une véritable addiction chez lui.

Ainsi lorsqu’Elle utilisera sa langue – et quelques soient les raisons invoquées – Elle ne ressentira jamais dans cette dernière ni réticence ni dégout mais, au contraire, le besoin impérieux de la satisfaire pour lui prouver son amour.

Cité interdite

Certaines Femmes ont la vulve ainsi faite que lorsqu’Elles écartent les jambes on peut voir l’intérieur de leur vagin.

Dans ce cas, cette vision – sa Reine le sait bien – renforce la frustration d’un chevalier chaste et cocu, puisqu’il voit l’intérieur de cette cité qui lui est interdite alors qu’il sait que d’autres hommes peuvent y être invités.