Qu’une Reine accepte ou non que son chevalier l’embrasse sur la bouche (certaines le réservent à leurs amants), il n’en est pas moins vrai que ce dernier embrassera ses lèvres infiniment plus souvent et plus longtemps qu’un homme dans un couple ordinaire.
V de la victoire d’une Reine fraichement comblée par un amant, qui attend de son chevalier qu’il vienne s’incliner devant son intimité et, qu’en signe de soumission, il la lèche pour la nettoyer.
Tel un bourdon chaste qui se nourrit du nectar des fleurs, un chevalier vit dans l’attente que sa Reine offre à sa délectation la fleur aux nectars les plus précieux : son intimité.
Si jupe ou robe sont plus pratiques, un pantalon ne constitue jamais un obstacle insurmontable pour une Reine qui souhaite pouvoir, à tout moment, rappeler à son chevalier le respect qui lui est dû en se faisant lécher l’anus.
Avant qu’Elle ne reçoive un amant, offrir de petits coups de langue bien placés sur l’anatomie de sa Reine est pour un chevalier l’occasion de lui prouver non seulement sa dévotion et l’amour qu’il lui porte mais également de lui signifier la pleine acceptation de son statut de cocu.