Pour (achever de) convaincre son chevalier qu’Elle lui est supérieure, une Reine a tout intérêt à le placer régulièrement dans des positions où il se sent physiquement inférieur.
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Amour et humiliations
Une Femme dominante par nature ne peut généralement être amoureuse durablement que d’un homme qui accepte de se soumettre à son autorité.
Humilier et abaisser son chevalier, lui imposer la chasteté, le faire cocu, le dresser à être obéissant et à la vénérer n’est donc pas pour une Reine un manque de respect ou une marque de désamour à son égard mais au contraire un moyen de l’aider à progresser dans sa soumission, à en repousser les limites, à le libérer des ses inhibitions, à accepter de se livrer sans retenue et à comprendre que l’amour qu’Elle lui porte est intimement lié à sa capacité à comprendre que la satisfaction des besoins d’une Femme dominante est le pivot de ce qui fait la réussite de sa vie de couple.
Enfin lorsqu’Elle aura besoin de tendresse, Elle aura la certitude que les câlins reçus ou donnés ne seront pas vus comme une marque de faiblesse mais comme une part également nécessaire à son équilibre affectif et son besoin d’empathie.
Bref amour et humiliation sont pour une Reine deux termes dont l’association est non seulement parfaitement naturel mais aussi souvent nécessaire à l’équilibre de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier
Mécanique des fluides
Bien qu’éjecté parfois de manière ascendante, le sperme d’un chevalier a moins de valeur que l’urine de sa Reine quand bien même Elle est projetée de manière descendante.
En effet le sperme d’un chevalier est peu (ou totalement) inutile aux yeux de sa Reine (surtout s’il est chaste et qui ne peut lui donner de plaisir en jouissant dans son ventre) alors que l’urine de cette dernière sert autant à humilier celui qui accepte de la recevoir qu’à le marquer physiquement au moyen de son odeurs et de ses phéromones.
A ce titre cette urine, comme tout ce qui provient de son intimité, est (aux yeux d’un homme soumis au moins) un des instruments participant à lui donner son pouvoir Féminin.
Obliger son soumis à se branler (voire à jouir parfois) alors qu’Elle lui pisse dessus est un moyen pour une Reine de lui faire comprendre que si son sperme est une conséquence de son plaisir c’est bien l’urine de sa Maîtresse qui en est la cause et que donc, dans le type de relation qu’ils ont engagée, l’urine de la Femme à plus de valeur que le sperme de l’homme.
Chaîne d’intérieur
S’il peut être parfois difficile pour une Femme de porter une chaîne de cheville en public (notamment – et pour des raisons de discrétion – sur son lieu de travail), demander à son chevalier (puisque le message qu’elle véhicule s’adresse aussi à lui) de la lui passer lorsqu’Elle rentre chez Elle.
Non seulement cela donnera l’occasion à ce dernier – entre autres lorsqu’il honorera ses pieds – de ne pas oublier qu’Elle a tous les pouvoirs, dont celui de le faire cocu mais Elle pourra également la lui faire embrasser et la remercier d’avoir des amants, puisqu’un des arguments justifiant la liberté d’une Reine tient dans le fait que son absence de frustration sexuelle la rend plus amoureuse de son chevalier.
Plus grande
Simplicité
Ré-éducation
Considérer son chevalier (au moins parfois) comme un petit garçon c’est pour une Reine l’occasion de reprendre à zéro son éducation notamment sur tout ce qui concerne ses rapports avec une Femme, afin de le conduire à accepter puis à voir comme naturel sa supériorité Féminine et l’impérieuse nécessité qu’il y a pour un homme à se soumettre à son autorité et à l’honorer s’il veut réussir sa vie de couple.
Inégalité
Branlette humiliante
Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.
Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.
NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.
Température
Avec la parfaite mauvaise foi qui peut la caractériser lorsqu’Elle est taquine, une Reine peut prétendre que son doigt est suffisamment sensible pour servir de thermomètre rectal et ce avec un aplomb d’autant plus imparable qu’effectivement il lui suffira d’annoncer 37 ° à +/- 0.5 ° pour avoir raison dans 99% des cas.
Un chevalier sait néanmoins que, sous ce prétexte métaphorique auquel il ne pourra pas échapper, il s’agit de le conduire à se sentir petit garçon aux mains d’une adulte bienveillante (mais également un peu libidineuse) qui prend soin de sa santé, mais aussi de reconnaitre sa soumission entière en acceptant qu’Elle fouille ainsi une partie de son anatomie qu’un homme garde en général inviolée.