Un chevalier amoureux de sa Reine devrait accepter qu’Elle le fasse cocu – si Elle en exprimait l’envie et le besoin – mais devrait aussi, si c’était le cas, l’encourager à prendre un plaisir maximum dans sa relation avec son amant.
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Anti-salissure
Sous prétexte d’éviter tout débordement et toute salissure lorsqu’il jouira, une Reine peut lorsqu’Elle branle son chevalier lui faire porter un préservatif.
Pour peu qu’Elle soit un tantinet perverse (ce qui est généralement le cas) Elle aura tout intérêt à lui en faire porter un dont la taille sera manifestement sur-dimensionnée par rapport à la taille de sa quéquette, tout en lui faisant remarquer que l’effet de flottement induit rend les choses plus compliquées pour Elle.
En réalité cet effet de flottement aura plus d’impact sur son chevalier :
- Il rendra son plaisir sexuel moins intense que si la capote était bien ajustée (ou mieux que s’il n’avait pas eu de capote).
- Il le renforcera dans l’idée que comme il le pensait et/ou lui avait déjà suggéré sa Reine, la taille de son zizi est définitivement inappropriée pour la satisfaire.
S’en remettre à Elle
Une fois la relation, l’empathie et la confiance réciproque bien établies et pour prouver son amour et sa soumission, un chevalier doit être capable d’accepter non seulement la complète liberté sexuelle de sa Reine mais aussi qu’inversement Elle contrôle sa sexualité à lui, ce quels que soient les moyens employés.
Sensualité et distance
Tri sélectif
Au lendemain d’une soirée bien occupée avec son amant, une Reine peut demander à son chevalier de l’aider à effectuer un tri sélectif des objets à jeter.
Il n’est pas sûr que cette demande corresponde aux critères écologiques en vigueur mais il est certain, qu’en l’humiliant ainsi, Elle le conduit à plus de soumission.
Petits jeunes
Quand une Reine expérimentée se "tape" des petits jeunes, Elle reste en général dominante (même si ses attentes sont différentes de celles concernant son chevalier) et prend les choses en main, afin d’avoir le beurre (la fougue et la résistance de la jeunesse mais une certaine impétuosité et un manque d’altruisme) et l’argent du beurre (la certitude que c’est son plaisir à Elle qui passera en premier).
Main au cul
Objet de dévotion
Lors de sa phase de dressage, une Reine a tout intérêt à apprendre à son chevalier à la lécher correctement (c’est à dire comme Elle l’entend, que ce soit pour l’honorer ou la nettoyer) mais aussi à faire qu’il s’approprie l’idée que c’est sa vulve et sa satisfaction qui est le pivot de la réussite de leur couple.
Si de plus Elle le maintient chaste (C’est à dire qu’Elle refuse toute forme de pénétration de sa part lors de leurs rapports amoureux), cette dernière, tout comme le fruit défendu, deviendra encore plus attirante pour lui.
Le sexe de sa Reine devient pour le chevalier non pas un possible objet de plaisir comme c’est le cas pour les autres hommes, notamment ses amants, mais un véritable objet de dévotion créant une véritable addiction chez lui.
Ainsi lorsqu’Elle utilisera sa langue – et quelques soient les raisons invoquées – Elle ne ressentira jamais dans cette dernière ni réticence ni dégout mais, au contraire, le besoin impérieux de la satisfaire pour lui prouver son amour.
Son ombre
Plongeon
Le soir ; retirer les bottes de sa Reine respirer ses pieds pour plonger dans un état de soumission, dont Elle pourra tirer profit (ou pas) suivant son humeur, tout au long de la soirée.