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Amour

Toute Femme souhaite trouver chez son partenaire – ou mari – de l’empathie, de l’intelligence, de l’humour, de la tendresse, bref des qualités qui les rendront compatibles et complémentaires.

D’autres – puisque c’est dans leur nature – vont plus loin et ne pourraient tomber amoureuses si Elle ne sentaient pas chez lui une forme de soumission à la Féminité, la présomption du fait qu’une Femme puisse être leader dans le couple et qu’un homme puisse être ré-éduqué en vue d’accepter qu’une Femme puisse aussi être Reine et Maîtresse.

Ainsi, contrairement à ce que beaucoup pensent, une dominante n’est pas une "emmerdeuse" dont le seul plaisir est d’humilier son partenaire (même si Elle peut y trouver du plaisir) mais une amoureuse qui attend de son soumis qu’il lui apporte par son respect et son obédience, la preuve qu’il reconnait son autorité dans un rapport gagnant-gagnant, fondé sur la confiance, où chacun assume sa place.

Siège de Reine

Un siège particulièrement destiné à une Reine puisqu’il permet le "queening" (activité qui consiste pour un homme à vénérer et honorer la vulve et/ou l’anus d’une Femme).

Confortablement installée (ainsi que son chevalier qui pourra ainsi ne penser qu’à sa tâche), une Femme peut ainsi pleinement profiter de l’hommage qui lui est rendu mais aussi vaquer à d’autres occupations (télé, lecture, téléphone), voire même se lâcher à faire un petit pipi sans avoir à se déplacer.

NB : Attacher ainsi le chevalier le rendra plus objet mais sa Reine devra veiller à ce qu’il ne s’étouffe pas

Attentions

Il n’est pas rare qu’une Reine qui fait son chevalier cocu lui interdise ce qu’Elle accepte de ses amants à savoir le droit de la pénétrer.

Ce n’est pas une raison pour Elle d’oublier les besoins de ce dernier et de ne pas stimuler parfois son zizi par des caresses affectueuses.

Au contraire même, puisqu’en l’absence de pénétrations (et de fellations) elles se situent – juste après la branlette – à l’avant dernière étape sur l’échelle du plaisir qu’il peut recevoir de la part de sa Reine et qu’à ce titre, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elles ont beaucoup plus de valeurs que lorsqu’elles sont pratiquées dans le cadre d’une relation traditionnelle.

Difficile à accepter

Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.

En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.

La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.

Sans intermédiaire

Il arrive parfois qu’une Reine confie à son chevalier une culotte tachée de sperme afin qu’il la nettoie. Dans sa grande bonté – mais aussi pour accroitre sa frustration – Elle pourra également de temps en temps autoriser ce dernier à – lui aussi – en salir une avec sa propre semence au cours d’une de ses branlettes. 

Bien sûr la tâche sera moins concentrée et sans doute pas vraiment placée au même endroit, puisque le liquide issu du jet ira directement du zizi à la culotte, sans passer par le vagin de sa bien aimée.