Toutes les Reines – ou presque – possèdent une ou plusieurs tenues qui font que, quand Elle apparaissent les portant, leur chevalier comprend instantanément qu’il doit tout abandonner pour se dévêtir et venir se placer à leurs pieds.
Petit florilège – sous forme d’un feu d’artifice d’images – pour fêter dignement le 14 juillet.
Puisque sa Reine doit être l’unique objet de ses fantasmes et la seule raison de ses branlettes, quoi de plus naturel pour un chevalier que de les pratiquer devant Elle.
Porter une alliance signifie pour une Reine qu’Elle assume être mariée à un homme à qui Elle a promis sa fidélité de cœur mais absolument pas que le sperme qui s’écoule de son vagin doive provenir du sexe de cet homme.
Que ce soit à titre préventif, éducatif ou curatif, il est très simple pour une Reine d’amener son chevalier à réfléchir au statut qu’il occupe dans leur couple.
Comme en tout, il y a les Femmes qui attendent que les choses évoluent et celles qui bousculent l’ordre établi afin de les faire évoluer plus rapidement.
Lorsque la quéquette de son chevalier fait moins de 10 cm, la comparer à la taille de ses talons sera pour une Reine un bon moyen de lui faire comprendre pourquoi Elle le considère comme un petit garçon condamné à rester chaste et cocu.
Marié ou pas, lorsqu’un couple s’inscrit durablement dans une relation où chacun reconnait la légitimité pour une Femme à être la dominante absolue, qu’elles soient écrites ou tacites, contraignantes ou plus souples, des règles encadrant le comportement de l’homme se mettront inexorablement en place afin de le conduire à la soumission que sa partenaire attend de lui.
Même si le barreaux de sa cage seront bien plus souvent virtuels que réels, un futur chevalier doit bien comprendre qu’en se mettant au service d’une Reine il perdra (l’essentiel de) sa liberté, son autonomie, sa sexualité et ses droits au profit de cette dernière.
Pour une Reine dont le chevalier est condamné à la chasteté certaines questions sont sans objet.
Les chattes viennent quand elles en ressentent l’envie, pas quand on le leur demande.
