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Conditionnement

S’il est par nature du devoir du chevalier d’honorer et de nettoyer de sa langue l’intimité de sa Reine, présenter cette intimité à son regard de manière récurrente créera à terme une addiction qui le rendra totalement dépendant du sexe Féminin.

Plus le soumis se trouvera en position physiquement inférieure à cette intimité ainsi offerte à ses yeux, plus il la trouvera supérieure et plus son inconscient en deviendra convaincu.

A terme, il s’en suivra une véritable vénération de la vulve de sa Maitresse, le sentiment qu’une grande partie de la réussite de leur couple passe par les plaisirs de cette intimité, un amour inconditionnel pour cette dernière et la compréhension qu’être cocu ne peut que renforcer leur union puisque cela permet à sa Reine de maximiser ses plaisirs sexuels.
 

Respiration

Quand une Reine donne à un chevalier l’occasion de respirer l’intérieur de sa chaussure, Elle lui offre une partie d’Elle même, puisque les odeurs qui y sont attachée sont uniques.

En rendant cette opération régulière, Elle créera à terme une véritable addiction pour son soumis qui deviendra sexuellement excité à chaque fois qu’il le fera.

Une Maîtresse se sentira d’autant plus Reine en conduisant son chevalier au fétichisme (voire en lui imposant parallèlement  la chasteté) qu’Elle le saura excité par Elle mais également au contact de tout ce qui lui appartient.

Barbie

Beaucoup de Femmes – et donc de Reines – aiment retrouver l’espace d’un instant leurs plaisirs de petite fille en jouant à la poupée.

Concernant les Reines, ce sont souvent les chevaliers qui leurs servent de poupée. Il n’en est pas moins vrai que lorsqu’il s’agit d’une vraie poupée, sa panoplie d’habillage n’est pas la même que celle destinée à une petite fille.

Petit culotte

Certaines Reines insatisfaites de la taille du zizi de leur chevalier lui font porter (à titre provisoire ou définitif) des petites culottes de "fille" afin qu’il soit conscient qu’il n’a rien d’un mâle à leurs yeux.

Dans l’idéal elles devraient être suffisamment féminines pour qu’il n’y ait pas de doute à leur sujet mais suffisamment sages pour ne pas les confondre avec celles de leur Maîtresse.