Lorsqu’un chevalier déchausse sa Reine, ce n’est pas fromage ou dessert mais fromage ET dessert.
En d’autres termes il doit aussi bien embrasser et vénérer sa (ses) botte(s) que son (ses) pied(s).
Ne pouvoir faire l’amour à sa Reine conduit invariablement un chevalier à devenir fétichiste des vêtements, sous vêtements ou chaussures qu’Elle a portés (surtout ceux destinés à séduire un autre homme) et qui sont empreints de ses odeurs.
J’imagine que ce comportement qui le ramène à l’époque ou il était petit garçon puceau, excité à l’idée de toucher ou sentir un objet appartenant à la mère d’un ami, cherchant à s’imprégner d’un univers Féminins dont certains accès lui étaient interdits et le sont à nouveau, ne peut que réjouir sa Maîtresse et lui faire mieux sentir le pouvoir psychologique qu’Elle exerce sur lui.
Mini jupe plissée écossaise d’écolière et cuissardes rouges à talons aiguilles métallique : cette Reine connait les hommes et sait que le côté petite fille perverse les attire.
Pour peur qu’elle adresse à un homme qui l’intéresse un petit regard, autant coquin que provocateur, et son chevalier comprendra qu’il sera à nouveau bientôt cocu.
Lors d’une première rencontre avec un amant, une Reine peut souhaiter la présence de son chevalier, non seulement pour la protéger (au cas ou) mais aussi pour renforcer sa soumission en lui faisant jouer le rôle de celui qui présente et offre sa Femme, qu’il ne saurait satisfaire avec son zizi, à un amant qui se substituera à lui pour le faire.
Chasteté ne voulant pas dire abstinence, une Reine portant une chaîne de cheville, peut autoriser son soumis à se branler et jouir sur ses pieds en dessous de cette chaîne qui signifie qu’il est cocu, pou lui rappeler que tout dépôt de sperme au delà de cette ligne, que ce soit dans son intimité, sa bouche ou sur son corps est réservé à ses amants.
Si certaines Femmes, jeunes ou inexpérimentées, pourraient s’inquiéter de la taille du pénis de gauche, la grande majorité d’entre Elles rêveraient de pouvoir en profiter.
Aucune part contre ne fantasmera à la vue de la quéquette de droite, sauf peut-être certaines (futures) Reines qui y verront un moyen d’humilier son propriétaire et de le conduire à se soumettre à leur Féminité.
A l’issue d’une fessée, non pas punitive mais éducative, une Reine peut très bien consoler et câliner son chevalier pour lui faire comprendre combien Elle est fière et heureuse qu’il la reconnaisse ainsi comme lui étant supérieure.
Un chevalier bien dressé sait que l’intimité de sa Reine est non seulement le signe de sa supériorité mais que veiller à son bien être et son plaisir est le pivot de la réussite de leur couple.
Ainsi – quel que soit le moment et sans avoir besoin d’avoir recours à un cérémonial particulier – lorsqu’Elle lui demande de mettre sa tête entre ses cuisses, il comprend instantanément ce qu’Elle attend de lui : être vénérée, léchée, nettoyée dans des moments d’intimité partagée qui sont devenus pour lui les meilleurs moments de la journée.