Quand une Femme se penche ainsi c’est :
- soit qu’Elle est très grande,
- soit que son interlocuteur est particulièrement petit,
- soit qu’Elle est Reine et qu’Elle a demandé son chevalier de se mettre à genoux devant Elle.
Quoi de plus doux pour une Reine – une fois qu’Elle l’aura dressé à en faire un réflexe – que de sentir la langue de son chevalier honorer et nettoyer son intimité pour l’aider à sortir des bras de Morphée.
Curiosité du vocabulaire qui créé un oxymore : dresser un homme consiste en grande partie à lui apprendre à s‘abaisser devant une Femme.
Après une formation initiale à la fellation (si Elle l’a connu hétéro) une Reine peut utiliser son chevalier comme auxiliaire de vie, afin de la libérer de certaines tâches et de se consacrer totalement à son plaisir.
Que ce soit pour sentir la douce caresse d’une langue sur sa cheville ou son mollet à travers sa botte ou s’en servir pour en faire briller le vinyle, une Maîtresse doit dans un premier temps éduquer son soumis à apprendre à acquérir les bons réflexes et comprendre les bons gestes.
"Bonne soirée mon amour… Désolée de t’avoir mis ta cage de chasteté mais tu sais que j’aurais horreur de savoir que tu pourrais te tripoter pendant que je serai avec mon amant. Je veux que tu ne penses qu’au plaisir qu’il pourra me donner et que tu te concentres sur l’idée que tu devras me nettoyer et me faire jouir à mon retour. Après cette dernière jouissance, tu auras le droit de te branler pendant que je te raconterai ma soirée."
Par définition une relation D/s est fondée sur la confiance et une Reine ne fera jamais rien qui puisse mettre en danger l’intégrité physique de son chevalier.
Partant de ce principe, lorsque cette dernière tend une cuillère à son chevalier et quel que soit son contenu, sperme, urine, diurétique, laxatif ou tout simplement de la nourriture, il devra l’ingurgité sans sourciller, quand bien même les effets immédiats ou à venir pourraient lui causer un désagrément.
Cette obligation est d’autant plus grande lorsqu’Elle est avec une amie et qu’il serait particulièrement mal venu de remettre en cause son autorité – et la qualité de son dressage – en présence de celle-ci.