Est-ce avant l’arrivée de son amant OU après le départ de ce dernier que cette Reine ouvre les lèvres de son intimité pour faire comprendre à son chevalier qu’Elle attend sa langue ?
Qu’importe puisqu’il est là pour la servir avant Et après.
Le fait que dans un couple D/s le dialogue soit aussi important que dans tout couple ordinaire n’exclut pas que la Reine arbitre et décide des bonnes décisions à prendre pour le bien commun.
C’est ainsi elle qui juge du fait de savoir s’il est bon pour son chevalier de porter ou non une cage de chasteté et si oui quand il devra le faire et quand elle l’en libérera.
Un scénario pour Reines également dominantes avec leurs amants, qui aiment le goût du sperme et sentir le pouvoir qu’Elles exercent sur les hommes lorsqu’Elle leur font une fellation.
S’habiller sexy avec des "accessoires" de dominante
Mettre l’amant en position soumise (nu et immobile) et opérer.
Profiter de sa victoire.
NB : Les plus perverses lorsqu’Elles auront leur chevalier à porter de main n’hésiteront pas à lui demander de les embrasser afin de lui faire partager ce trophée.
Etre Reine c’est l’assurance de ne pas avoir à :
quand on veut sentir la langue de son chevalier sur son intimité.
Etre Reine c’est l’assurance qu’à tout moment et en tout lieu il suffit de demander (ou d’exiger) à ce que son sexe soit honoré, nettoyé ou conduit au plaisir par la langue de son chevalier
"Désolée mon amour mais j’ai tellement mouillé aujourd’hui en pensant que je te ferai cocu ce we que ma petite chatte est toute poisseuse et sent la petite fille qui se néglige. Je suis sure que ta langue de chevalier se fera un plaisir de régler se petit problème pour que je puisse m’endormir en me sentant fraiche comme la rosée."
Une image (au moins autrefois) présente dans les livres d’histoire, rappelant l’esprit chevaleresque d’hommes se mettant au service de leur Reine en promettant :
Il existe aujourd’hui encore des hommes – trop peu nombreux -qui acceptent de se placer sous l’autorité d’une Femme.
Si la cérémonie d’adoubement est moins solennelle (mais en contrepartie elle peut être récurrente), elle n’en reprend pas moins les mêmes ingrédients qu’autrefois en les adaptant à notre culture.
Ainsi :
NB : Si autrefois un chevalier partait guerroyer pour défendre les intérêts de sa Reine, aujourd’hui il la sert en étant proche d’Elle, ce qui lui donne de multiples occasions de reconnaitre sa soumission.