Ce n’est pas parce qu’un chevalier est incapable de satisfaire sexuellement les besoins de sa Reine que cette dernière ne souhaite pas partager émotionnellement ses orgasmes avec lui, quand bien ce serait d’autres hommes qui les lui procureraient physiquement.
Un chevalier bien dressé doit comprendre les codes qui font qu’une Reine attend qu’il vienne s’installer à ses pieds en attendant ses ordres.
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Lorsqu’une Reine a pris l’ascendant dans son couple, en public, son chevalier ne doit pas oublier d’adopter une position humble et lorsque c’est possible, comme dans cette situation, de se placer physiquement en dessous d’Elle.
Pour certaines Femmes il est réjouissant de constater qu’un homme accepte – de manière naturelle ou après dressage – de s’installer nu à leurs pieds en signe d’obédience.
Toute Femme souhaite trouver chez son partenaire – ou mari – de l’empathie, de l’intelligence, de l’humour, de la tendresse, bref des qualités qui les rendront compatibles et complémentaires.
D’autres – puisque c’est dans leur nature – vont plus loin et ne pourraient tomber amoureuses si Elle ne sentaient pas chez lui une forme de soumission à la Féminité, la présomption du fait qu’une Femme puisse être leader dans le couple et qu’un homme puisse être ré-éduqué en vue d’accepter qu’une Femme puisse aussi être Reine et Maîtresse.
Ainsi, contrairement à ce que beaucoup pensent, une dominante n’est pas une "emmerdeuse" dont le seul plaisir est d’humilier son partenaire (même si Elle peut y trouver du plaisir) mais une amoureuse qui attend de son soumis qu’il lui apporte par son respect et son obédience, la preuve qu’il reconnait son autorité dans un rapport gagnant-gagnant, fondé sur la confiance, où chacun assume sa place.
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Pour Elle : des cuissardes brillantes qui exaltent le pouvoir de sa Féminité. Pour lui : ce collier comme seul appât, qui lui rappelle son appartenance et donne tout son sens au mot Maîtresse.
Lorsque le fond de culotte d’une Reine est humide (ou carrément mouillé) et ce quelle qu’en soit la cause et l’origine, la langue d’un chevalier soumis révèle son utilité.
"Mon amour, puisque tu serais bien incapable de me satisfaire avec la petite quéquette qui te sert d’attribut sexuel, et puisque aucun de mes amants n’est disponible ce soir, je te propose d’essayer de me donner du plaisir avec ce god. Bien sûr ce ne sera pas pareil mais au moins auras tu l’occasion de me remplir le ventre, même par procuration."
Lorsqu’une Reine reçoit une autre Reine ou une amie suffisamment intime pour être au courant de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier sans en être choquée, l’une ou l’autre peuvent, par une petite caresse condescendante sur ses fesses nues, l’encourager à être parfait lorsqu’il les sert.
Lorsqu’il est chaste (et cocu ?), être dans les bras de sa Reine, non pas pour la pénétrer mais pour se branler, doit être vu par un chevalier comme un privilège qu’Elle lui accorde par amour pour lui.
