Déposer son "arme" à ses pieds, entre sa chaussure et la chaîne de cheville qui signifie qu’Elle entend bien le faire cocu, est un beau symbole de soumission pour un chevalier amoureux de sa Reine.
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Vue d’en bas
Plus un chevalier sera bas face à sa Reine plus il la verra comme étant ce qu’Elle est réellement, c’est à dire Supérieure.
Sous la table
Lorsqu’une Reine laisse tomber sa serviette, Elle attend bien évidement de son chevalier qu’il la ramasse mais également qu’il en profite pour embrasser chacun de ses pieds.
Principe éducatif
La fessée si elle peut être punitive est avant tout – dans mon esprit – éducative, en permettant de rappeler au chevalier que sa Reine est aussi Maitresse et qu’il est également son soumis.
Coeur
Sa Reine contrôle sa sexualité, lui interdit de la pénétrer mais lui a offert son cœur. N’est ce pas là l’essentiel ?
Armistice
En ce jour d’armistice, cette Reine s’offre au vainqueur tout en épargnant le vaincu.
Ecrins
Lorsque leur chevalier a vraiment un tout petit zizi, certaines Reines estiment que de le protéger (au moins parfois) dans un écrin féminin correspond plus à son anatomie.
Soit en le cachant :
Soit en l’exhibant :
Attributs
Un chevalier portant l’essentiel des attributs de la soumission (cage de chasteté, plug, collier) entre les jambes d’une Reine dominatrice affirmée (voir son t-shirt).
Rien n’empêche qu’ils forment un couple aimant mais des exercices réguliers permettent de renforcer un amour placé sous le signe de la domination féminine.
Démonstration
Même lorsqu’elle reste confinée à une certaine intimité, quand une relation D/s sort du strict cadre de la relation de couple, les sentiments d’humiliation du soumis se trouve exacerbées et inversement l’image du pouvoir que renvoie sa Maîtresse renforcée.
Extase
Accepter d’être cocu, c’est souvent pour un chevalier comprendre que d’autres peuvent amener sa Reine à des extases vers lesquelles sa piètre virilité est incapable de la transporter.
