Au lendemain d’une soirée bien occupée avec son amant, une Reine peut demander à son chevalier de l’aider à effectuer un tri sélectif des objets à jeter.
Il n’est pas sûr que cette demande corresponde aux critères écologiques en vigueur mais il est certain, qu’en l’humiliant ainsi, Elle le conduit à plus de soumission.
Fellation façon "bourgeoise" pour cette Reine sans doute peu motivée mais qui entendait prouver à son invité qu’Elle est Maîtresse et libre de faire cocu son chevalier soumis même en sa présence.
" Alors comme ça tu es soumis et tu aimes les Femmes dominantes ? Ca tombe bien j’aime les hommes soumis. Déshabille-toi pour me prouver que tu l’es bien et raconte-moi ça."
Un petit clic pour Elle, une grande claque pour lui quant à sa future autonomie sexuelle.
A l’adresse de son chevalier, le sourire de cette Reine qui vient de lui rappeler pourquoi il ne lui ferait jamais l’amour mais également de lui expliquer qu’Elle aura rapidement besoin de sa bouche, pour préparer un outil qui pallie à ses carences.
" Mon chéri, à ton avis je mets quoi avec ça pour recevoir nos nouveaux amis ? Ma jupe écossaise d’écolière, ma jupette en daim ou ma mini en cuir que tu aimes tant ?"
"A propos je t’ai dit ? J’ai reçu leur test HIV, ils sont séronégatifs…"
Si une Reine aime la sodomie et qu’Elle utilise parfois un petit vibromasseur anal pour sacrifier à ce plaisir, c’est moins parce que la quéquette de son chevalier serait inadéquate que par principe.
En effet, Elle peut juger bon – et on ne saurait lui donner tord – que pour l’équilibre de son couple, il serait malsain que son chevalier puisse jamais penser qu’il pourrait parfois prendre l’ascendant sur Elle, notamment si Elle lui offrait cette partie de son anatomie, autrement que pour la faire vénérer avec sa langue.
Terrible frustration – et humiliation – pour un chevalier qui se voit refuser un plaisir un peu pervers, qu’Elle aime accorder à ses amants ou partager avec un god.
Lui confier ses bas – comme le reste de sa lingerie – à nettoyer est une preuve de confiance d’une Reine envers son chevalier. Lui en prêter un – qu’Elle vient de porter – à sentir pendant qu’Elle l’autorise à se branler est une preuve d’amour.
Une Reine a – forcement – tous les droits, notamment celui de vérifier que son chevalier a bien mis, comme Elle le lui avait demandé, une petite culotte en satin (voir l’article précédent) sous ses vêtements masculins.
" Mon amour, ouvre ton tiroir à sous vêtements. Tu vois j’ai jeté tous tes horribles vieux caleçons pour les remplacer par un assortiment de culottes en satin qui siéront mieux à une petite quéquette épilée et qui te feront oublier que je pourrais penser que tu as une once de virilité."
