Lorsqu’une Femme se réserve à ses amants et se refuse à son mari, les branlettes qu’Elle lui octroie prennent aux yeux de ce dernier une toute autre saveur, puisque de préliminaires elles deviennent le stade ultime du plaisir qu’il peut espérer obtenir d’Elle.
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Maître de maison
Sourire satisfait d’une Reine
Le sourire de Celle qui n’a pas besoin de passer par la salle de bain avant de demander, quémander, attendre le bon vouloir de son partenaire quand Elle souhaite se faire lécher mais, qui au contraire, sait qu’Elle a à sa disposition une langue bien éduquée, avide de la servir et toujours disponible à l’instant où Elle en exprime le désir ou le besoin.
Ressenti
Organe de substitution
Que ce soit parce qu’Elle estime son zizi trop petit pour la satisfaire ou par éthique en refusant d’être "possédée" par celui qu’Elle possède, une Reine peut souhaiter s’abstenir de faire l’amour à son chevalier.
Si les amants sont une bonne alternative pour éviter la frustration de ne pas être pénétrée, ils ne remplacent pas les étreintes avec celui dont Elle est normalement la plus amoureuse.
Lui faire porter un gode-ceinture, dont le phallus serait à la taille idéale pour Elle, constitue une bonne solution de substitution, car même si les sensations ressenties sont légèrement différentes de celles provoquées par un vrai pénis, Elle peut être sure de sa résistance et que son "amant" sera uniquement concentré sur son plaisir à Elle puisqu’il n’en aura pas lui-même (en tout cas dans sa quéquette).
Soubrette mâle
Prise de guerre
Amoralité ?
Même s’il lui en coûte et lorsqu’il en a accepté volontairement le principe (ou la règle) faire cocu son chevalier n’est peut être pour une Reine considéré comme une forme de tromperie au caractère immoral. Tout juste pourrait-Elle être considérée comme amorale par des âmes bien pensantes, puisqu’Elle fait fi de la morale qui veut qu’une Femme mariée soit monogame, cette "amoralité" n’étant de toute façon pas condamnable puisqu’elle ne trouble en rien l’ordre public.
Directe
Effet
" Et bien dis donc. Je savais que tu étais excité quand je porte du cuir mais j’ai l’impression que ta chasteté te rend de plus en plus réactif. Désolée, je sais que tu n’aimes pas mais tu vas devoir lécher tout ça. Je ne voudrais pas que tout le monde sache que j’ai un vilain petit garçon fétichiste qui ne peut s’empêcher de juter sur ma veste. "









