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Pensée

Malgré la chance qu’il a d’être proche d’Elle, un chevalier chaste et cocu, lorsqu’il voit, lèche, nettoie ou vénère l’intimité de sa Reine, ne peut s’empêcher de penser (souvent pour le plus grand plaisir de cette dernière) à tous les sexes mâles qui ont connu ou connaitront la douceur de ses nymphes, alors que lui n’en connaitra jamais que le vestibule.

 

Pourquoi le faire cocu ?

De nombreuses études (comme celle-ci) ont montré que si une Femme recherche à s’accoupler avec un partenaire dans une relation amoureuse, Elle est aussi génétiquement programmée pour chercher de multiples partenaires sexuels au cours de sa vie.

Si beaucoup d’entre Elles inhibent et occultent cette partie de leur personnalité, d’autres l’assument mais souvent au dépend de leur vie amoureuse c’est à dire en multipliant les rencontres sans pouvoir se fixer auprès d’un homme, quand bien même il aurait les qualités de cœur et d’intelligence qu’Elle attendrait de lui.

Cet esprit de liberté, généralement lié à un caractère dominant, fait qu’avec le temps Elles puissent rechercher un partenaire amoureux qui acceptera qu’Elles ne soient pas sexuellement monogames.

Lorsqu’Elle est vraiment dominante, la condition de cette acceptation est sine qua none et son partenaire ne doit pas espérer qu’une fois la relation établie Elle puisse (par amour pour lui) revenir sur cette condition.

S’instaure alors une relation Reine/chevalier, où le chevalier – lui – doit, c’est évident rester fidèle (dans le cas contraire on serait dans une relation traditionnelle mêlée d’échangisme mais pas D/s) voire parfois chaste (dans le sens ou toute pénétration est réservée à ses amants).

Un futur chevalier à qui une Reine impose le fait de devenir cocu consentant doit donc comprendre que si cela renforcera le pouvoir de la Reine et l’humiliation (donc la soumission) du chevalier, il ne s’agit en fait que d’une heureuse conséquence mais pas du but initialement recherché, à savoir la liberté sexuelle irrévocable de la Reine.

En d’autres termes il faut pas confondre conséquence et cause et une Reine qui se frustrerait de ne pas faire son chevalier cocu serait malheureuse mais inversement une Reine qui se forcerait à la faire uniquement en vue de se sentir plus grande le serait tout autant.

Pour conclure : Une relation fondé sur l’acceptation de son cocufiage par le chevalier a au moins deux avantages :

  • Pour la Reine celui de pouvoir cumuler une vie amoureuse et complice (avec son chevalier) et une vie sexuelle épanouie (avec ses amants).
  • Pour le chevalier de savoir que sa Reine n’étant pas frustrée sexuellement, elle pourra se consacrer entièrement à l’amour qu’Elle lui porte (lorsqu’Elle ne sera pas avec ses amants).


 

Petits coeurs

Petite culotte offerte par une Reine à son chevalier pour lui rappeler que, si son absence de virilité (ici manifeste) est rédhibitoire pour certaines activités, elle attend avant tout de lui qu’il lui offre son cœur sans retenue en manifestant par son respect, son obédience, son humilité et sa dévotion, la pureté – et le caractère inconditionnel – de l’amour qu’il Lui porte.

Exercice d’humilité

L’absence d’intimité due à sa nudité, la sensation forte d’appartenance liée au port d’un collier et d’une laisse, renforcent le sentiment d’humilité (nécessaire) d’un chevalier lorsqu’il doit vénérer sa Reine ou un accessoire symbole de son pouvoir, comme ses bottes, et permet à cette dernière de mieux jouir (parfois au deux sens du terme) du pouvoir qu’Elle exerce sur lui.

 

Epilation du pénis

Imposer l’épilation de son pénis à son chevalier est une pratique courante dans le cadre d’une relation ou c’est la Femme qui est dominante dans le couple.

Cette pratique est une marque de l’acceptation de la soumission de l’homme et un moyen de le rendre moins viril aux yeux de sa Reine. C’est aussi un moyen de l’humilier en rendant sa nudité plus prégnante lorsqu’il doit se présenter dans la tenue d’Adam.

Néanmoins lorsque ce pénis est de taille moyenne ou supérieure à la moyenne, l’absence de poil ne suffit pas à déviriliser totalement son propriétaire.

Inversement, lorsqu’il est inférieur à la moyenne, voire lorsqu’il ne dépasse pas – comme le mien – une dizaine de cm en érection (c’est à dire moins que la taille moyenne d’un enfant de 13 ans), sa pilosité – seul signe apparent de virilité – disparue le fera clairement apparaître pour ce qu’il est réellement, à savoir un zizi de petit garçon.

Cette constatation, si elle renforce le complexe du chevalier peut être aussi vue comme une chance dans la relation qu’il entretient avec sa Reine puisque ce caractère physique imparable facilite – pour l’Une comme pour l’autre – la mise en place d’un rapport psychologique où Elle se positionne comme adulte et lui comme enfant soumis à Son autorité.

La Reine et le petit garçon

Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.

Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.

La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).

NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.