Le mettre en laisse sert moins la satisfaction de l’ego d’une Reine que le conditionnement de l’esprit de son chevalier qui peut ainsi mieux mesurer son appartenance, non seulement spirituelle mais également physique, à celle qui l’a choisi.
Epilée, portant un bijou qu’Elle a choisi, coincée entre ses bottes et sa cravache, cette quéquette est indubitablement contrôlée par cette Femme ainsi que celui qui la porte qui a accepté de se soumettre à son autorité.
La possession d’un jardin privatif et discret, d’un chevalier et l’arrivée du printemps, sont parfois l’occasion pour une Reine de reprendre des arrosages bien particuliers.
Lorsqu’une Reine s’installe ainsi c’est généralement qu’Elle attend de son chevalier, qu’avant de se glisser sous sa jupe pour honorer son intimité lors de sa toilette, il commence par vénérer ses bottes et/ou ses pieds.
Lorsqu’une Femme d’expérience cherche le chevalier idéal, Elle n’a pas forcement plus d’exigences qu’une jeune Femme mais son assurance lui permet généralement de mieux les imposer.
Lorsqu’une main caresse ainsi son entre-jambe de manière inquisitrice, c’est rarement celle de son chevalier mais plus vraisemblablement celle d’un amant, même si la présence du premier rend souvent pour une Reine la caresse encore plus délicieuse.
Pour certains couples, la règle de grammaire qui veut que le masculin l’emporte sur le féminin est juste l’exception qui confirme le fait qu’en réalité c’est le contraire et que le Féminin l’emporte bien sur le masculin.
" Bien… Maintenant que tu es nu et en place, en attendant que tu t’occupes de moi et pendant que je fume une cigarette, je veux que tu me racontes ta journée. "