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Ainée

" Surtout ne crois pas que puisque je n’ai plus 30 ans ma libido est en berne. C’est même tout le contraire et je ne me gênerai pas pour me servir de ta langue ou te faire cocu. Inversement à mon âge l’expérience fait que l’on s’est affranchie de la plupart de ses inhibitions et que l’on ne manque pas d’idées pour abaisser et humilier un homme. Pire pour toi : je prendrai un grand plaisir et n’hésiterai pas à les mettre en pratique pour casser ton ego de mâle, te conduire à être vraiment soumis et te convaincre, sans retour en arrière possible, de la supériorité des Femmes. Je sais maintenant, qu’au delà de ses qualités humaines, je ne pourrais vraiment aimer un homme que s’il acceptait de se livrer totalement à mon autorité. Tu crois que tu pourrais assumer cela et m’aimer malgré tout ? "

Futures réceptions

" Décidément cette tenue de soubrette te va à ravir. Bien sûr tu as l’air un peu ridicule mais c’est aussi le but non ? et ça ne te rend que plus "charmante" à mes yeux. J’envisage très sérieusement d’inviter une Amie et de te faire porter cette tenue pour nous servir le thé, histoire d’avoir son avis à Elle aussi. Tu aimes mon idée ? "

Dressage avancé

Lorsqu’une Reine estime que l’éducation de son chevalier est suffisamment avancée, Elle peut souhaiter introduire dans leur intimité une autre Reine affirmée ou une Amie qu’Elle connait assez (et qu’Elle aura sondée) pour savoir qu’Elle serait intéressée par ce type de relation.

Si la participation de tiers Féminins n’est pas indispensable pour l’épanouissement de leur couple, elle permet d’aller plus loin dans l’exploration du concept de la suprématie Féminine, c’est à dire pour le chevalier la reconnaissance de la supériorité non seulement de sa Reine mais également des autres Femmes (et notamment des Amies qu’Elle pourrait lui présenter).

Il doit alors apprendre à se comporter vis à vis d’une autre Femme de la même manière qu’il le fait avec sa Reine mais en dehors de sentiments (réciproquement) amoureux, rendant par la même sa soumission plus humiliante puisque dénuée (au moins partiellement) du regard bienveillant et protecteur de celle qu’il a l’habitude de servir.

Cet exercice imposé au chevalier a pour effet collatéral (le plus souvent désiré) de grandir la Reine aux yeux de son Amie et (c’est bien naturel) de renforcer son ego au fur et à mesure que son chevalier perd le sien.

Objet utilitaire

Que ce soit lors de sa phase de dressage et de conditionnement ou plus tard lors de séances destinées à contrôler et renforcer sa soumission, une Reine peut souhaiter, afin de le marquer (physiquement et psychologiquement) de son empreinte, uriner dans la bouche de son chevalier.

Pour cela deux possibilités : soit directement de la productrice au consommateur en collant son intimité contre la bouche de ce dernier, soit en utilisant un dispositif adapté, en général un bâillon muni d’un orifice dans lequel on bloque un tuyau relié à son autre extrémité à un entonnoir.

Un tel dispositif à pour conséquences (avantages ?) :

  • De se prémunir contre toute forme d’échappatoire une fois qu’il est installé
  • D’éviter toute perte du précieux liquide qu’Elle lui offre.
  • Corollairement de ne pas risquer de provoquer de salissures sur le sol.
  • De créer de la distance pour qu’il n’ait aucun doute quand au rôle de simple objet qui lui est assigné.

Dans ce cas, quel que soit l’amour que porte la Reine à son chevalier, il ne saurait être question de sentiment amoureux, d’emballement lié à l’excitation du moment, de complicité mais d’un acte réfléchi, programmé, organisé, n’ayant pour seul but que de casser son ego en l’utilisant comme toilettes – ni plus (mais surtout) ni moins – et de l’humilier par tout moyen qui lui semble approprié du moment qu’Elle ne porte pas atteinte à sa santé* ou à son intégrité.

* L’urine "fraiche" est stérile (mais produit de l’ammoniaque en se décomposant). A ce titre il n’est pas dangereux de la boire au moment ou elle sort du méat urinaire (avec modération toutefois) ou de la lécher sur l’intimité de sa Reine (sans modération vu les quantités absorbées)
NB : Puisqu’il est difficile avec un tel dispositif de contrôler le débit du flux d’urine, ni d’y échapper, la Reine devra veiller à ce que son chevalier n’avale pas de travers au risque de s’étouffer (et prévoir de pouvoir l’ôter rapidement si c’était le cas).