Une Reine fétichiste des chaussures sera d’autant plus satisfaite de son chevalier qu’Elle saura qu’il prendra (malgré le côté humiliant qu’il a à le faire) du plaisir à embrasser une paire de jolies bottines qu’Elle offrira à sa vénération.
Malgré la chance qu’il a d’être proche d’Elle, un chevalier chaste et cocu, lorsqu’il voit, lèche, nettoie ou vénère l’intimité de sa Reine, ne peut s’empêcher de penser (souvent pour le plus grand plaisir de cette dernière) à tous les sexes mâles qui ont connu ou connaitront la douceur de ses nymphes, alors que lui n’en connaitra jamais que le vestibule.
L’absence d’intimité due à sa nudité, la sensation forte d’appartenance liée au port d’un collier et d’une laisse, renforcent le sentiment d’humilité (nécessaire) d’un chevalier lorsqu’il doit vénérer sa Reine ou un accessoire symbole de son pouvoir, comme ses bottes, et permet à cette dernière de mieux jouir (parfois au deux sens du terme) du pouvoir qu’Elle exerce sur lui.
"Dis moi : on dirait que tu as la quéquette toute dure. C’est ma tenue qui t’excite, le fait d’être nu devant moi, parce que j’ai gardé mes gants et que tu aimerais que je te branle ou autre chose ? Tu sais que tu dois tout dire à ta Maîtresse. Approche-toi et raconte-moi tes vilaines pensées de petit garçon !"