Bottée, gantée de cuir, une robe de satin,
Couvrant des bas de soie, une culotte en dentelle,
Elle se sent très Femme et terriblement belle
Et de plaisirs charnels elle a soudain très faim.
Allongé devant Elle, soumis, nu, épilé,
Petit mâle humilié gisant là à ses pieds,
Lui qu’elle aime ainsi voir et qu’elle a éduqué
A rendre chaque jour hommage à sa féminité.
Elle se sent Déesse et si elle en doutait
Un regard à ses pieds et un zizi dressé,
Lui rappellerait sans doute le pouvoir dont elle use
Sur celui programmé qui en a fait sa muse.
Elle soulève sa robe et offre à son regard
Cet écrin de dentelle qui la protège encore.
Elle descend doucement, ses jambes de part en part,
Pour lui offrir ainsi la douceur de son corps.
Elle aime prendre son temps et sentir ses baisers
Sur ce morceau d’étoffe aux reflets irisés
Qui cache ce vagin, petit jardin secret,
Triomphe féminin de la fécondité.
Elle profite à l’instant de sensations prégnantes
Mais ne va pas tarder à ôter cette barrière,
Pour mieux sentir sur l’intimité de ses lèvres
Le contact charnel d’une langue obéissante
Elle le pousse de la voix, elle veut se sentir Reine
Qu’il embrasse ses fesses qu’il lèche son anus !
Hommage pitoyable qu’il rend à sa Vénus,
Le sentir inférieur, pour qu’elle jouisse sans peine.
Elle veut le sentir boire les nectars qu’elle lui donne,
Qu’il hume les odeurs qu’elle a crée pour lui
En pensant il y à peu à ce moment qu’elle vit,
Qu’il lave de sa langue sa délicieuse aumône.
Et passent les minutes en étant accroupie
Sur cette bouche ouverte qui lui sert de bidet
Voir même peut être plus , elle pourrait faire pipi
Puisqu’elle à tous les droits et qu’il n’est que laquet
Et passent les minutes, elle sent que se rapproche
Le moment attendu qui va la délivrer.
Elle s’abandonne enfin à le traiter de salope,
A l’humilier encore pour se sentir plus forte.
Et passent les minutes, ses jambes l’abandonnent.
Elle sent ce doux moment ou tout son corps frissonne.
Elle jouit de tout son saoul en s’écrasant sur lui,
Qui reste sur sa faim, il n’a pas joui… tant pis…..
MAGNIFIQUE TEXTE, SUBLIME
Reine Pascale