Une tenue de cow-girl qui la rend d’autant plus impressionnante que son chevalier est à genoux devant Elle.
Des chaps qui mettent en valeur l’essence même de ce qui fait sa féminité, afin de conditionner son soumis à rendre la vénération de son intimité comme essentielle à sa vie.
Si l’éducation d’un chevalier par sa Reine passe par l’humilité et les humiliations qui en découlent, cette dernière doit aussi lui donner des signes de reconnaissance lorsqu’Elle est satisfaite de lui.
S’il est par nature du devoir du chevalier d’honorer et de nettoyer de sa langue l’intimité de sa Reine, présenter cette intimité à son regard de manière récurrente créera à terme une addiction qui le rendra totalement dépendant du sexe Féminin.
Plus le soumis se trouvera en position physiquement inférieure à cette intimité ainsi offerte à ses yeux, plus il la trouvera supérieure et plus son inconscient en deviendra convaincu.
A terme, il s’en suivra une véritable vénération de la vulve de sa Maitresse, le sentiment qu’une grande partie de la réussite de leur couple passe par les plaisirs de cette intimité, un amour inconditionnel pour cette dernière et la compréhension qu’être cocu ne peut que renforcer leur union puisque cela permet à sa Reine de maximiser ses plaisirs sexuels.
Après le passage de son amant, l’impérieux besoin pour cette Reine d’utiliser la langue de son chevalier pour nettoyer son intimité.
Il est reconnu qu’en général les Femmes prennent plus de soins de leur corps que les hommes.
Pourquoi une Reine n’associerait t-elle pas son chevalier à ses exercices de gym afin de les rendre plus ludiques ?
Cette Reine se demande si son intimité n’a pas besoin d’être débarrassée de petites odeurs corporelles. En cas de doute Elle fera vraisemblablement appel à la langue de son chevalier.
A gauche l’homme d’une soirée à qui Elle va offrir la douceur de son vagin, à droite l’homme de sa vie qui devra supporter d’être contraint dans une cage en plastique.
L’esprit est ainsi fait qu’il est vraisemblable que le plaisir de cette Reine de savoir le second frustré renforcera le plaisir de se sentir pénétrée par le premier.
Certaines Reines insatisfaites de la taille du zizi de leur chevalier lui font porter (à titre provisoire ou définitif) des petites culottes de "fille" afin qu’il soit conscient qu’il n’a rien d’un mâle à leurs yeux.
Dans l’idéal elles devraient être suffisamment féminines pour qu’il n’y ait pas de doute à leur sujet mais suffisamment sages pour ne pas les confondre avec celles de leur Maîtresse.
Vue sa pose et les traces blanches à l’entrée de son vagin (cyprine, sperme ?), cette Reine attend certainement la langue de son chevalier pour une toilette intime et réparatrice.
V de la victoire d’une Reine qui a pris le contrôle de la virilité de son chevalier et qui affirme la supériorité de sa Féminité.
