Lorsqu’une Reine palpe ainsi les couilles de son chevalier, celui ci peut espérer – si Elle les trouve bien pleine – l’autorisation de pouvoir se branler prochainement.
Lorsqu’une Reine aime pratiquer la fellation mais qu’Elle la refuse à son chevalier, ou que ce dernier à un zizi trop petit pour qu’Elle y trouve un réel intérêt , avoir un (ou des) amant qu’Elle pourra sucer à loisir devient parfois plus qu’un besoin mais une véritable nécessité pour son propre plaisir.
Un chevalier peut être drôle malgré lui et une Reine ne pas s’empêcher de sourire ou rire à la vue de son zizi.
Cette hilarité provoquée ne peut que l’encourager à se moquer ouvertement de cette quéquette de petit garçon qui ne saurait jamais la satisfaire et à justifier son besoin impérieux de prendre des amants pour compenser les tares de son chevalier.