Passer un collier avec laisse à son chevalier est pour une Reine l’occasion de lui rappeler, non seulement qu’il lui appartient mais également qu’à des moments choisis par Elle, il perd toute liberté pour ne plus devenir (toutes proportions gardées) qu’un petit animal fidèle, dressé pour lui obéir et la satisfaire.
Glisser – en signe de possession – la main entre les jambes d’une Reine est un privilège d’amant. Un chevalier devra se "contenter" d’y déposer ses lèvres en signe d’obédience.
A voir l’entrain qu’il met à accomplir sa tâche, il est clair que cette Reine a su dresser son chevalier à comprendre que s’il est humiliant de nettoyer le sperme de ses amants lorsqu’il s’écoule de son vagin, c’est aussi une forme de récompense puisqu’Elle accepte de le lui offrir et de partager ce moment d’intimité avec lui.
Mettre un collant ajouré, sans porter de culotte, permet à une Reine d’être toujours "disponible" pour un amant mais plus généralement pour permettre à la langue de son chevalier de pouvoir l’honorer ou la nettoyer tout en vacant à ses occupations.
Lorsqu’une Reine souhaite à terme voir ses pieds (et tout ce qui s’y rapporte) vénérés par son chevalier, lui apprendre à accepter puis aimer voire adorer leurs odeurs peut faire partie du processus de dressage mis en place pour le conduire à pratiquer régulièrement la valse à trois temps.
Une maxime de Reines que tout chevalier attentionné ne devrait jamais oublier.
Porter des bottes sous sa robe de mariage est suffisamment rare pour que d’aucuns parmi les invités s’interrogent sur leur signification et le régime sous lequel le nouveau couple se placera.
Que ce soit par exhibitionnisme, parce qu’Elle a besoin de savoir qu’il la supporte dans ses turpitudes, parce qu’Elle a besoin de sa présence rassurante et aimante, une Reine peut souhaiter la présence de son chevalier lorsqu’Elle est avec son amant.
Elle peut lui demander de participer avant ou après mais aussi pendant son coït.
Bien que frustrant pour le chevalier c’est aussi un moyen de lui faire partager un moment d’intimité auquel il n’aurait sans doute pas accès autrement.
Puisque, pour tout chevalier qui se respecte, les valeurs liées à l’organe sexuel Féminin sont infiniment supérieures à celles liées à l’organe sexuel masculin, recevoir sur son zizi une douche provenant de l’intimité de sa Reine devrait être vu – une fois la période de dressage ayant pour but de casser son ego bien avancée – moins comme l’humiliation de se faire pisser dessus que comme une gratification et un honneur qui lui est fait.
Qu’Elle juge son zizi inadapté et/ou le fait qu’Elle ait compris l’intérêt de le garder chaste, une Reine a plein d’autres moyens de transformer son chevalier en objet sexuel capable de satisfaire non seulement la porte de son intimité mais aussi l’intérieur de cette dernière.
