Snowball : Terme anglais qui signifie le transfert de sperme d’une personne à une autre par la bouche.
Une Reine ayant pratiqué une fellation à un amant en présence de son chevalier lui donner le sperme qu’elle a recueilli dans sa bouche.
Dans tous les cas une situation humiliante pour le chevalier obligé de boire la semence d’un "concurrent".
La gifle est beaucoup moins érotique que la fessée et – mal dosée dans son intensité – peut aussi être dangereuse.
J’avoue néanmoins qu’être souffleté par des gants de cuir blanc – tenue par celle qui serait ma Reine – aurait un côté très chevaleresque qui ne me déplairait sans doute pas.
Lorsqu’un homme est nu devant une Femme autrement que lors d’un rapport amoureux, nul doute que c’est un signe de soumission qu’Elle lui impose pour se sentir encore plus Reine.
Dans une relation traditionnelle il est rare qu’une femme se plaigne de la taille du sexe de son partenaire afin de le ménager. Ce silence entraine souvent une grande frustration de sa part d’autant plus que notre société prônant la fidélité elle est condamnée à rester insatisfaite sauf à le tromper en cachette ou à le quitter quelles que soient ses qualités autres.
Dans une relation D/s, une Reine n’hésitera pas à se plaindre et à expliquer à son chevalier qu’elle ne saurait se contenter de ce qu’il lui offre.
Une Reine a tous les droits, notamment ceux de rendre son chevalier chaste et cocu, mais dans ce cas précis, elle pourra en plus le rendre responsable ce cet état de fait.
Conséquence perverse : Le chevalier devra se féliciter d’être cocu, puisque ce qui compte avant tout c’est le bonheur de sa Reine et qu’une partie de son bonheur ne peut passer que par des plaisirs que seuls des amants peuvent lui offrir.
Si un chevalier (comme tout homme qui se respecte) doit soutenir sa Reine dans tous les moments de la vie, il peut aussi la soutenir dans des moments d’intimité avec son amant comme – par exemple – en lui retenant (et en lui massant) la nuque pour qu’elle soit le plus à l’aise possible.
Il participe ainsi autant que faire se peut à son plaisirs et à ses orgasmes.
Un cadeau d’une Reine à son amoureux pour qu’il pense à Elle tout le temps.
A journée exceptionnelle, autorisation exceptionnelle.
Un chevalier chaste et cocu peut parfois être autorisé à se masturber en regardant sa Reine faire l’amour à un autre.
En rendant son chevalier chaste et cocu une Reine va déclencher chez lui un attrait pour le fétichisme.
N’ayant pas accès à ce qui fait l’essentiel de ce qu’attend un homme il va se retourner vers l’accessoire.
En éduquant son chevalier à apprécier l’odeur de transpiration de ses pieds dans ses chaussures une Reine va rapidement créer un besoin chez son chevalier qui le conduira à des érections contrariées par sa cage.
Savoir que de telles odeurs – a priori non compatibles avec ce qui fait normalement son charme – excite un homme fera (entre autres) qu’une Femme se sentira vraiment Reine.
Pour ceux qui ne connaissent pas, Fetlife est un réseau social orienté BDSM, bondage, fétichisme, etc…une sorte de "Facebook" sur lequel j’invite les lectrices (et lecteurs) interessé(e)s ou en recherche d’un rapport Reine/chevalier à s’inscrire.
Avantages de ce site :
Vous pourrez en consultant ma page (pseudo weenie) en savoir un peu plus Mesdames sur mes fantasmes car même si je suis convaincu que c’est au chevalier de s’adapter à ceux de la Reine, il n’en est pas moins vrai qu’un socle d’attirances communes facilite l’évolution d’une relation D/s (et qu’un chevalier ne devrait rien avoir à cacher même – et surtout – sur tout ce qui touche à sa sexualité).
Ce qui me laisse à penser que j’ai bien un profil de "chevalier soumis" (Vous pourrez trouvez le test – en anglais- ici)
Pour en savoir plus allez sur cette page.
De la même manière qu’un chevalier doit – lorsqu’elle le lui demande – vénérer les chaussures, bottes ou pieds de sa Reine, il devrait aussi – lorsqu’elle en porte une – vénérer sa chaîne de cheville.
Tout en embrassant cette chaîne, il devrait remercier sa Reine de la porter et de le faire cocu afin de la renforcer dans son choix de vie et, si besoin était, d’effacer de son esprit toute trace de culpabilité, aussi infime soit-elle.
