Quand une Reine porte jean et cuissardes mais qu’Elle souhaite néanmoins utiliser la langue de son chevalier pour l’essuyer après avoir fait pipi, la meilleure technique pour éviter les contorsions est de se présenter ainsi et de le laisser faire.
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Humiliation renforcée
Pour rendre sa branlette plus humiliante, une Reine peut choisir de faire porter à son chevalier des accessoires féminins afin de lui rappeler qu’il n’a rien d’un "vrai mec".
D’ailleurs à part un homme soumis, qui accepterait de s’exhiber ainsi devant une Femme ?
Fin de soirée
Une Reine expérimentée sait que malgré les signes qu’Elle peut lui envoyer, la présence de son chevalier risque d’inhiber un amant potentiel.
Elle sait aussi, qu’après quelques verres partagés autour d’un bon repas, les inhibitions tombent et qu’un signe provoquant et non équivoque suffit en général à atteindre l’objectif qu’Elle s’était fixé.
Accord parfait
Dans l’idéal, le zizi d’un chevalier devrait être aussi doux au toucher que le cuir des bottes de sa Reine.
Dompteuse
Durant la période de dressage, toute dompteuse a souvent besoin d’accessoires pour maitriser celui qu’Elle dresse.
A l’issue de cette période ils deviennent inutiles, le chevalier comprenant sur un simple regard, un simple mot ou une simple attitude ce que sa Reine attend de lui.
Nudité forcée
A condition que la température ambiante si prête bien sûr, la nudité imposée par une Reine à son chevalier – même dans des moments très ordinaires de leur vie de couple – conduira ce dernier à trouver naturel de n’avoir plus d’intimité donc à renforcer son humilité et la perception qu’il a de la supériorité de sa Reine.
Quoi ?!..
Certaines Femmes ont la capacité de faire comprendre à un homme et ce d’un seul regard :
- Qu’il parle trop,
- Qu’Elle estime qu’il lui a manqué de respect,
- Qu’il vient de dire uen grosse connerie,
bref qu’il est urgent qu’il la ferme.
Expression linguisitique
Au sens figuré, le lèche cul est une personne prête à s’abaisser devant une autre personne pour obtenir ses faveurs et sa protection.
Lorsqu’un chevalier s’adonne à cette pratique au profit de sa Reine, l’expression linguistique devient linguale mais la signification reste la même, sauf qu’en plus il devra l’en remercier.
Maturité
Passée la cinquantaine – voire même, sans plus de problème la soixantaine – une Femme garde tous les arguments pour séduire un chevalier plus jeune qu’Elle (ou pas) et accéder au statut de Reine.
Son age et son expérience sont même des arguments de poids dans de nombreux domaines :
- Sa connaissance des hommes et de la vie lui permettront d’exercer plus facilement une emprise psychologique sur son chevalier.
- Elle renvoie plus facilement l’image de l’adulte et donc de l’autorité naturelle aux yeux d’un chevalier qui – avant toute phase de dressage – se sentira naturellement petit garçon face à Elle et donc plus naturellement respectueux et obéissant (Inversement Elle se sentira beaucoup plus à l’aise pour le considérer comme tel et donc naturellement supérieure)
- L’adoption de tenues strictes, l’utilisation du cuir – qui accentuent au yeux du chevalier l’image de son pouvoir – sont plus facilement vues comme naturels aux yeux des autres chez une Dame que chez une jeune Femme.
Par ailleurs connaissant mieux son corps et ses envies elle sera plus à même de former son chevalier à satisfaire sa libido au quotidien, voire à la renforcer, et ce d’autant plus qu’avec les années les inhibitions tombent et qu’Elle hésitera sans doute moins qu’une Jeune Reine à le dresser à atteindre un degré d’exigence parfois supérieur.
De la même manière, en cas de manque d’appétence, elle hésitera moins à sublimer sa sexualité pour jouir intellectuellement (a minima) des humiliations qu’Elle pourrait faire subir à son chevalier (féminisation forcée, lavements, transformation en bébé ou bien sûr créé une relation maman / petit garçon, etc…) qui seraient la marque de son pouvoir sur lui, ni même pour satisfaire son ego et épater ses amies à afficher sa dominance et l’humilier devant Elles.
Enfin sa recherche d’amants devenant souvent accessoires pour son équilibre (ce qui ne veut pas dire qu’elle soit dans tous les cas abandonnée), Elle aura plus de temps à consacrer à son chevalier (et inversement Elle attendra plus de lui), notamment celui consacré à sa vénération (ou aux jeux pré-cités), ce qui ne pourra que les rapprocher et augmenter l’effet d’addiction qu’Elle aura su créer chez lui.
Bref, Mesdames qui me lisez et qui êtes curieuses ou attirées par ce type de relation, sachez qu’il n’y a pas d’age pour devenir Reine.
Vibromasseur anal
Si une Reine aime la sodomie et qu’Elle utilise parfois un petit vibromasseur anal pour sacrifier à ce plaisir, c’est moins parce que la quéquette de son chevalier serait inadéquate que par principe.
En effet, Elle peut juger bon – et on ne saurait lui donner tord – que pour l’équilibre de son couple, il serait malsain que son chevalier puisse jamais penser qu’il pourrait parfois prendre l’ascendant sur Elle, notamment si Elle lui offrait cette partie de son anatomie, autrement que pour la faire vénérer avec sa langue.
Terrible frustration – et humiliation – pour un chevalier qui se voit refuser un plaisir un peu pervers, qu’Elle aime accorder à ses amants ou partager avec un god.
