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Hautaine

Si comme toute Femme amoureuse une Reine a naturellement envie d’offrir de la tendresse à son chevalier, sa nature – et son intérêt – la pousseront aussi à se montrer parfois hautaine pour lui rappeler que tendresse n’est pas faiblesse et que leur relation n’est pas égalitaire mais que c’est bien Elle qui est supérieure.

Minimaliste

Une chaîne de cheville minimaliste mais qui recèle un maximum d’informations.

  • Placée au dessus (et non au-dessous) de sa botte, sa propriétaire entend bien qu’elle soit vue.
  • Elle ne peut être considérée comme un bijou donc un initié saura tout de suite que celle qui la porte attend qu’on la séduise.
  • Elle supporte une clé qui à n’en pas douter est celle de la cage de chasteté que porte son chevalier lorsqu’Elle est en "chasse".

Pour résumer le message est : je suis une Femme dominante, libre de faire cocu mon partenaire chaste et consentant. Saurez-vous me séduire ?

Orgasmes magiques

A la différence d’un homme dont la jouissance est pour la plupart du temps et brève et relativement pauvre, une Femme dispose d’un corps infiniment plus sensible qui la conduit, lorsqu’Elle oublie ses soucis quotidiens et  lorsqu’Elle est bien servie, à profiter d’orgasmes magiques.

Lorsqu’Elle est Reine, une des principales tâches de son chevalier est donc de lui offrir ces orgasmes, aussi souvent qu’Elle le désire et ce par tout moyen, notamment avec sa langue ou son sexe.

Si, par principe pour garder de la distance en refusant de se donner à lui, et/ou parce que son sexe serait d’une taille insuffisante pour la satisfaire, il ne pouvait pas lui donner du plaisir en la pénétrant, il devrait alors accepter que d’autres se substituent à lui pour la satisfaire ainsi.

Epilation du pénis

Imposer l’épilation de son pénis à son chevalier est une pratique courante dans le cadre d’une relation ou c’est la Femme qui est dominante dans le couple.

Cette pratique est une marque de l’acceptation de la soumission de l’homme et un moyen de le rendre moins viril aux yeux de sa Reine. C’est aussi un moyen de l’humilier en rendant sa nudité plus prégnante lorsqu’il doit se présenter dans la tenue d’Adam.

Néanmoins lorsque ce pénis est de taille moyenne ou supérieure à la moyenne, l’absence de poil ne suffit pas à déviriliser totalement son propriétaire.

Inversement, lorsqu’il est inférieur à la moyenne, voire lorsqu’il ne dépasse pas – comme le mien – une dizaine de cm en érection (c’est à dire moins que la taille moyenne d’un enfant de 13 ans), sa pilosité – seul signe apparent de virilité – disparue le fera clairement apparaître pour ce qu’il est réellement, à savoir un zizi de petit garçon.

Cette constatation, si elle renforce le complexe du chevalier peut être aussi vue comme une chance dans la relation qu’il entretient avec sa Reine puisque ce caractère physique imparable facilite – pour l’Une comme pour l’autre – la mise en place d’un rapport psychologique où Elle se positionne comme adulte et lui comme enfant soumis à Son autorité.

La Reine et le petit garçon

Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.

Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.

La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).

NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.

Coup de gueule

Coup de gueule en ce jour de la fête de la Femme !…

Coup de gueule contre certains sites prétendument dédiés à la Suprématie Féminine mais qui présentent en réalité des Femmes objets, s’affichant nues (alors que les hommes sont vêtus), comme si c’était à Elles de s’offrir au préalable pour avoir le droit d’être dominantes.

Coup de gueule contre les pseudos soumis qui regardent ces sites en se branlant et qui attendent d’une Reine qu’Elle satisfasse ses fantasmes de soumission, suivant des règles intangibles qu’il aura lui-même définies et au moment qu’il jugera opportun, sans se soucier de ses envies à Elles.