" Bon, c’est plus clair dans ton esprit maintenant ? Tu comprends pourquoi c’est lui qui me baise et pas toi ? "
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Règles de courtoisie en public
Si à chaque couple ses règles, l’usage veut qu’en général un chevalier appelle sa Reine Madame en dehors de leur intimité et qu’il la vouvoie. Inversement cette dernière le tutoie et l’appelle par son prénom ou un surnom, ce qui lui permet d’afficher clairement son autorité en public sans pour autant verser dans l’excès.
Ce sont bien évidemment les Femmes, peu habituées à ce genre d’égards, qui seront le plus sensibles à cette pratique, et Elles ne seront pas rares, pour la plus grande gène du chevalier, à adresser un sourire mi amusé mi complice à sa Reine en signe de solidarité Féminine.
Cadette
" Dis-moi : ta Reine m’a dit que tu avais particulièrement honte de te devoir t’exhiber ainsi nu devant une jeune Femme qui a l’âge de tes enfants. Est-ce vrai ? Malgré ma jeunesse tu me trouves impressionnante, Supérieure ? Tu aimerais que moi aussi je te traite comme un petit garçon ? "
Futures réceptions
" Décidément cette tenue de soubrette te va à ravir. Bien sûr tu as l’air un peu ridicule mais c’est aussi le but non ? et ça ne te rend que plus "charmante" à mes yeux. J’envisage très sérieusement d’inviter une Amie et de te faire porter cette tenue pour nous servir le thé, histoire d’avoir son avis à Elle aussi. Tu aimes mon idée ? "
En profondeur
Lorsqu’une Reine apparait ainsi à la vue de son chevalier, c’est qu’Elle a décidé de prendre soin de sa santé et de lui pratiquer un lavement en profondeur (dans tous les sens du terme et donc renouvelé trois fois pour être parfaitement efficace) de ses intestins, quand bien même Elle sait que la venue des crampes et – à terme – l’impossibilité de contrôler ses sphincters (en sa présence ?) est particulièrement humiliante pour lui.
Allo macho bobo
Porter un pantalon de treillis pour faire croire à ses amis qu’il est un vrai mec n’empêchera pas un chevalier d’être vu par sa Reine comme un petit garçon qu’Elle peut fesser quand Elle l’entend (et notamment quand il joue les machos).
Dressage avancé
Lorsqu’une Reine estime que l’éducation de son chevalier est suffisamment avancée, Elle peut souhaiter introduire dans leur intimité une autre Reine affirmée ou une Amie qu’Elle connait assez (et qu’Elle aura sondée) pour savoir qu’Elle serait intéressée par ce type de relation.
Si la participation de tiers Féminins n’est pas indispensable pour l’épanouissement de leur couple, elle permet d’aller plus loin dans l’exploration du concept de la suprématie Féminine, c’est à dire pour le chevalier la reconnaissance de la supériorité non seulement de sa Reine mais également des autres Femmes (et notamment des Amies qu’Elle pourrait lui présenter).
Il doit alors apprendre à se comporter vis à vis d’une autre Femme de la même manière qu’il le fait avec sa Reine mais en dehors de sentiments (réciproquement) amoureux, rendant par la même sa soumission plus humiliante puisque dénuée (au moins partiellement) du regard bienveillant et protecteur de celle qu’il a l’habitude de servir.
Cet exercice imposé au chevalier a pour effet collatéral (le plus souvent désiré) de grandir la Reine aux yeux de son Amie et (c’est bien naturel) de renforcer son ego au fur et à mesure que son chevalier perd le sien.
Oenologie
Lorsqu’une Reine porte une chaîne de cheville signifiant qu’Elle n’hésite pas à le fait cocu, son chevalier, quand vient l’heure de lui faire sa toilette, peut parfois, à la vue de son intimité offerte, avoir des doutes sur la teneur des sucs qu’il devra nettoyer. Tel un œnologue c’est d’abord à leur odeur mais plus surement à leur goût sur sa langue qu’il pourra en déterminer avec certitude l’origine.
Curiosité
" Eh bien dis donc ! on dirait que tu as une érection. C’est curieux ça. C’est la douceur du satin sur ton petit oiseau qui t’excite ainsi ? Ou l’humiliation de devoir porter une culotte de Fille parce que pour moi tu n’as rien d’un mâle ? "
Objet utilitaire
Que ce soit lors de sa phase de dressage et de conditionnement ou plus tard lors de séances destinées à contrôler et renforcer sa soumission, une Reine peut souhaiter, afin de le marquer (physiquement et psychologiquement) de son empreinte, uriner dans la bouche de son chevalier.
Pour cela deux possibilités : soit directement de la productrice au consommateur en collant son intimité contre la bouche de ce dernier, soit en utilisant un dispositif adapté, en général un bâillon muni d’un orifice dans lequel on bloque un tuyau relié à son autre extrémité à un entonnoir.
Un tel dispositif à pour conséquences (avantages ?) :
- De se prémunir contre toute forme d’échappatoire une fois qu’il est installé
- D’éviter toute perte du précieux liquide qu’Elle lui offre.
- Corollairement de ne pas risquer de provoquer de salissures sur le sol.
- De créer de la distance pour qu’il n’ait aucun doute quand au rôle de simple objet qui lui est assigné.
Dans ce cas, quel que soit l’amour que porte la Reine à son chevalier, il ne saurait être question de sentiment amoureux, d’emballement lié à l’excitation du moment, de complicité mais d’un acte réfléchi, programmé, organisé, n’ayant pour seul but que de casser son ego en l’utilisant comme toilettes – ni plus (mais surtout) ni moins – et de l’humilier par tout moyen qui lui semble approprié du moment qu’Elle ne porte pas atteinte à sa santé* ou à son intégrité.
* L’urine "fraiche" est stérile (mais produit de l’ammoniaque en se décomposant). A ce titre il n’est pas dangereux de la boire au moment ou elle sort du méat urinaire (avec modération toutefois) ou de la lécher sur l’intimité de sa Reine (sans modération vu les quantités absorbées)
NB : Puisqu’il est difficile avec un tel dispositif de contrôler le débit du flux d’urine, ni d’y échapper, la Reine devra veiller à ce que son chevalier n’avale pas de travers au risque de s’étouffer (et prévoir de pouvoir l’ôter rapidement si c’était le cas).