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Exercice d’humilité

L’absence d’intimité due à sa nudité, la sensation forte d’appartenance liée au port d’un collier et d’une laisse, renforcent le sentiment d’humilité (nécessaire) d’un chevalier lorsqu’il doit vénérer sa Reine ou un accessoire symbole de son pouvoir, comme ses bottes, et permet à cette dernière de mieux jouir (parfois au deux sens du terme) du pouvoir qu’Elle exerce sur lui.

 

Raconte moi !

"Dis moi : on dirait que tu as la quéquette toute dure. C’est ma tenue qui t’excite, le fait d’être nu devant moi, parce que j’ai gardé mes gants et que tu aimerais que je te branle ou autre chose ? Tu sais que tu dois tout dire à ta Maîtresse. Approche-toi et raconte-moi tes vilaines pensées de petit garçon !"

Hautaine

Si comme toute Femme amoureuse une Reine a naturellement envie d’offrir de la tendresse à son chevalier, sa nature – et son intérêt – la pousseront aussi à se montrer parfois hautaine pour lui rappeler que tendresse n’est pas faiblesse et que leur relation n’est pas égalitaire mais que c’est bien Elle qui est supérieure.

Face à face

Une Reine en jupe (symbole de la Féminité) de cuir (symbole de son pouvoir) donc affichant sa supériorité face à son chevalier nu en signe de soumission.

Puisqu’une photo est par définition figée, difficile de savoir si la bandaison de sa quéquette est due à simulation préalable de sa Reine ou à l’excitation de se sentir ainsi humilié par une Femme qui sait naturellement s’imposer à lui.

Epilation du pénis

Imposer l’épilation de son pénis à son chevalier est une pratique courante dans le cadre d’une relation ou c’est la Femme qui est dominante dans le couple.

Cette pratique est une marque de l’acceptation de la soumission de l’homme et un moyen de le rendre moins viril aux yeux de sa Reine. C’est aussi un moyen de l’humilier en rendant sa nudité plus prégnante lorsqu’il doit se présenter dans la tenue d’Adam.

Néanmoins lorsque ce pénis est de taille moyenne ou supérieure à la moyenne, l’absence de poil ne suffit pas à déviriliser totalement son propriétaire.

Inversement, lorsqu’il est inférieur à la moyenne, voire lorsqu’il ne dépasse pas – comme le mien – une dizaine de cm en érection (c’est à dire moins que la taille moyenne d’un enfant de 13 ans), sa pilosité – seul signe apparent de virilité – disparue le fera clairement apparaître pour ce qu’il est réellement, à savoir un zizi de petit garçon.

Cette constatation, si elle renforce le complexe du chevalier peut être aussi vue comme une chance dans la relation qu’il entretient avec sa Reine puisque ce caractère physique imparable facilite – pour l’Une comme pour l’autre – la mise en place d’un rapport psychologique où Elle se positionne comme adulte et lui comme enfant soumis à Son autorité.

La Reine et le petit garçon

Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.

Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.

La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).

NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.

Avant son départ

Même si l’utilisation d’un tel accessoire ne fait pas partie de la vie courante d’un couple D/s, faire porter à son chevalier une cage de chasteté lorsqu’elle est (seule) avec son amant revêt de multiples avantages pour une Reine.

En effet, lorsqu’il sait qu’Elle est avec ce dernier son cocu consentant va ressentir de la frustration, de la jalousie (surtout s’il n’a pas le droit de lui faire l’amour), de l’humiliation mais aussi une forte excitation liée à cette dernière et à l’idée de la savoir dans les bras d’un autre.

Cette excitation risque, dès qu’Elle sera partie, de le pousser à d’abord se toucher puis, ne pouvant plus se contrôler, à se branler jusqu’à jouir (voire à le faire plusieurs fois) conduisant sa libido à se trouver définitivement en berne.

A ce moment là, tous les sentiments qui l’envahissaient disparaissent et – à défaut d’oublier totalement sa Reine – il sera apaisé et pourra s’endormir en paix.

Or le plaisir ressenti par une Reine avec son amant sera d’autant plus fort qu’Elle pourra imaginer, en lui faisant l’amour, la torture psychologique qu’elle impose ainsi à son chevalier. Savoir qu’il pourrait ne pas penser à Elle serait alors source de frustration.

Même si leur relation est fondée sur la confiance, le doute – au moins dans ce cas là – risque de l’emporter sur les certitudes et de gâcher ce plaisir annexe mais puissant de la Reine.

La cage de chasteté est donc un moyen qui prévient toute tentation de "tromperie" de la part du chevalier et rassure la Reine quant au fait que toutes les pensées de ce dernier seront tournées vers Elle jusqu’à son retour.

Avantage annexe : elle permet de renforcer le contraste qui existe entre les droits et devoirs de chacun puisqu’au moment même où la Reine exprime sa liberté sexuelle, le chevalier – lui – ne peut même pas toucher son propre sexe.