Un regard, l’attitude, un détail vestimentaire (ici des cuissardes) voire quelques paroles bien senties pour que la vendeuse (c’est souvent plus amusant pour une Reine et plus humiliant pour son chevalier que face à un vendeur) n’ait aucun doute sur le fait de qui est le "boss" dans le couple et que, même s’il s’agit de lui acheter des vêtements à lui, c’est Elle qui décide lesquels.
L’acceptation d’humiliations en public (légères – il ne s’agit pas de choquer – mais non équivoques) fait partie de l’éducation d’un chevalier, parce qu’il est finalement souvent plus facile (voire excitant) d’assumer sa soumission en privé (quels que soient les actes demandés) que face à des tiers.
Qu’un chevalier est la charge de déchausser sa Reine dans une boutique, de choisir les escarpins de les lui mettre déjà fait maintes fois de façon très naturelle et les vendeurs ne s’en sont pas offusqué : tout juste le contraire, un clin d’oeil, une belle complicité et le chevalier entre la confusion, le plaisir et la honte idem pour la lingerie, la courtoisie du chevalier auprès des vendeuses peut faire des miracles et elles en ont été émoustillées
Ce blog est un vrai plaisir pour les reines ,comme moi..
J’ai la chance d’être honorée par un serviable chevalier..je considère ,en effet ,que c’est une chance ..
Je place notre relation au dessus de tout imaginable..un absolu..
Même dans la douleur; la privation; l’humiliation; pas une fois il n’a défailli ou reculé…il sait apaiser mes souffrances et souvent me protéger de moi même…
Merci Madame pour ce commentaire et votre définition de ce que pourrait – devrait – être une relation Maîtresse-soumis idéale.
Celà ne devrait pas..
C’est….