Archives mensuelles : mai 2013

Tétée

Donner son sein à téter à son chevalier est pour une Reine l’occasion de ressentir un plaisir physique mais aussi de le replonger inconsciemment à une époque où sa vie (survie) dépendait uniquement d’une Femme (Mère ou Nourrice).

Répéter cette acte de manière récurrente – en employant les mots justes – permet ainsi à une Reine de le ramener non pas à l’état de bébé (ce qui n’est pas le but) mais dans un état de bien-être psychologiquement favorable à son acceptation de redevenir complétement dépendant d’une Femme en qui il aura toute confiance, pour non seulement le guider mais aussi le protéger.

Règles des règles

Puisqu’une Reine est indisponible durant ses règles (notamment auprès de ses amants), le corolaire pour son chevalier – et afin qu’il ne soit pas avantagé – devrait être une abstinence sexuelle totale durant cette période.

Afin qu’il soit solidaire d’Elle et de la gène qu’elles provoquent, on peut imaginer plusieurs variantes. Parmi celles-ci, lui faire porter à lui aussi une serviette hygiénique comme Elle le fait Elle, ou pour les différencier et rendre le désagrément plus palpable, à l’ancienne, avec une ceinture réglable et une culotte en plastique, bien sûr sans objet concernant des fuites mais pour créer une impression de chaleur, voire une certaine transpiration qui justifierait presque à elle seule la nécessité de porter cette serviette.

Récompense pour petit garçon

A la fois maternelle et dominante, proche et distante, le plaisir de faire plaisir à son chevalier mais aussi celui de le conditionner, par la chasteté et des branlettes répétées données sous forme de récompense, à se sentir petit garçon face à Elle, jusque dans une sexualité qui le verra accepter comme finalité ce qu’un adulte considère comme préliminaire.

Baiser de Maîtresse

A la différence du baiser traditionnel sur la bouche où les partenaires mélangent leur salive, ce baiser où seule la Femme offre la sienne à l’homme et où les sentiments générés (d’humiliation pour le chevalier et de pouvoir pour la Reine) tiennent moins du geste en lui-même que de l’idée qu’on s’en fait.