Qu’il apprécie physiquement ou pas ce type d’intrusion, il est généralement psychologiquement difficile pour un chevalier d’accepter de se faire enculer, fut-ce par le doigt de sa Reine, au point de chercher à garder les yeux fermés. (Ce qui inversement fait les délices de cette dernière qui ne manquera pas de lui demander de les ouvrir pour accroitre sa gêne).