Ne pouvoir faire l’amour à sa Reine conduit invariablement un chevalier à devenir fétichiste des vêtements, sous vêtements ou chaussures qu’Elle a portés (surtout ceux destinés à séduire un autre homme) et qui sont empreints de ses odeurs.
J’imagine que ce comportement qui le ramène à l’époque ou il était petit garçon puceau, excité à l’idée de toucher ou sentir un objet appartenant à la mère d’un ami, cherchant à s’imprégner d’un univers Féminins dont certains accès lui étaient interdits et le sont à nouveau, ne peut que réjouir sa Maîtresse et lui faire mieux sentir le pouvoir psychologique qu’Elle exerce sur lui.