Archives mensuelles : septembre 2012

Désolée

"Désolée mon amour mais j’ai tellement mouillé aujourd’hui en pensant que je te ferai cocu ce we que ma petite chatte est toute poisseuse et sent la petite fille qui se néglige. Je suis sure que ta langue de chevalier se fera un plaisir de régler se petit problème pour que je puisse m’endormir en me sentant fraiche comme la rosée."

Adoubement

Une image (au moins autrefois) présente dans les livres d’histoire, rappelant l’esprit chevaleresque d’hommes se mettant au service de leur Reine en promettant :

  • de la défendre et de la servir,
  • de l’honorer,
  • de lui être fidèle.

 

Il existe aujourd’hui encore des hommes – trop peu nombreux -qui acceptent de se placer sous l’autorité d’une Femme.

Si la cérémonie d’adoubement est moins solennelle (mais en contrepartie elle peut être récurrente), elle n’en reprend pas moins les mêmes ingrédients qu’autrefois en les adaptant à notre culture.

Ainsi :

  • Puisqu’il n’existe plus de tenue de Reine la Femme adopte une tenue qui symbolise son pouvoir Féminin (Cuir, bas, chaussures à talons)
  • Puisqu’il n’existe plus de tenue de chevalier, l’homme est nu pour prouver son humilité.
  • Le sexe de l’homme sous le pied de la Femme signifie qu’il dépose son arme (le pénis symbole de la virilité remplaçant l’épée) à ses pieds il accepte qu’Elle contrôle sa sexualité.
  • La tête de l’homme sur la cuisse de la Femme est le symbole non seulement de son obédience mais également  (c’est au moins aussi important) de la confiance qu’il lui porte.

NB : Si autrefois un chevalier partait guerroyer pour défendre les intérêts de sa Reine, aujourd’hui il la sert en étant proche d’Elle, ce qui lui donne de multiples occasions de reconnaitre sa soumission.

Boss

Un regard, l’attitude, un détail vestimentaire (ici des cuissardes) voire quelques paroles bien senties pour que la vendeuse (c’est souvent plus amusant pour une Reine et plus humiliant pour son chevalier que face à un vendeur) n’ait aucun doute sur le fait de qui est le "boss" dans le couple et que, même s’il s’agit de lui acheter des vêtements à lui, c’est Elle qui décide lesquels.

L’acceptation d’humiliations en public (légères – il ne s’agit pas de choquer – mais non équivoques) fait partie de l’éducation d’un chevalier, parce qu’il est finalement souvent plus facile (voire excitant) d’assumer sa soumission en privé (quels que soient les actes demandés) que face à des tiers.

Extases sexuelles

Pourquoi au nom de la morale une Femme devrait-Elle se passer d’une extase sexuelle que ne peut lui apporter son partenaire officiel alors que d’autres hommes peuvent le faire ?

Au contraire, beaucoup de Reines ont compris qu’avec l’accord – voire le soutien implicite – de leur chevalier, la liberté qu’Elles s’accordent de ne pas être frustrée renforce l’amour qu’Elles ont pour ce dernier, puisqu’à l’intérieur de leur couple il n’y a plus de problèmes liées à la sexualité (au moins la leur).

Questionnaire pour (futur) cocu

Traduction d’un texte plutôt destiné aux hommes mais qui pourra intéresser les Femmes quant à la psychologie de ces derniers et les signes qui font qu’un homme puisse avoir des tendances soumises.

Questionnaire pour cocu

Vous êtes curieux au sujet de la cocufication, mais vous n’êtes pas sûr que cela vous concerne réellement ou que vous pourries être considéré comme un cocu ? Voici quelques signes (ou questions) qui vous aideront à répondre à cette question.

Le fait que vous lisiez cet article devrait déjà être un premier indice, mais néanmoins, voici quelques autres signes …

  • Ca vous excite d’entendre parler votre Femme de ses expériences sexuelles passées.
  • Vous bandez à l’idée de penser que votre Femme désire d’autres hommes.
  • Ca vous excite de voir d’autres hommes regarder votre Femme en pensant qu’Elle doit être un "bon coup".
  • Vous aimez quand Elle s’habille de façon à attirer le regard des hommes.
  • Vous avez atteint un point où vous préféreriez la voir faire l’amour avec un amant bien monté plutôt qu’avec vous-même puisque vous savez que c’est ce qu’Elle préfère.
  • Pour vous l’expérience ultime du cunnilingus tourne autour du fait que votre Femme vous raconte sa soirée avec un amant pendant que vous léchez son intimité (Qu’elle soit remplie ou non de sperme).
  • Vous fantasmez plus à l’idée de lécher son intimité au retour d’une soirée avec un amant que de lui faire l’amour vous-même.
  • Vous réalisez que c’est vous qui lui en avez parlé en premier mais qu’Elle s’est appropriée l’idée.
  • Vous savez que vous ne pouvez la satisfaire par la pénétration aussi bien que d’autres hommes et vous avez trouvé d’autres voies pour la satisfaire.

Voila, si vous pouvez répondre oui à plus de deux questions c’est que vous êtes (ou pourriez être) un parfait cocu pour Elle.


 

Conditionnement par la parole

Si une Reine peut souhaiter avoir un chevalier à l’apparence très masculine en public, que ce soit pour l’esthétique mais aussi pour son aura (Il est plus valorisant vis à vis de tiers) elle a tout intérêt à casse son ego de mâle à l’intérieur de leur relation.

La parole (les mots et le ton employé) est un formidable outil de conditionnement pour le faire parce qu’elle est précise et peut être employée à tout moment et en tout lieu.

Ainsi une Reine pendant la phase d’éducation aura tout intérêt à utiliser la parole pour conduire son chevalier à la soumission qu’Elle attend de lui.

Les phrases et le ton pourront être doux (D) ou Cassant (C) suivant son humeur et l’avancée du dressage de ce dernier.

Ainsi par exemple :

Sur la taille de son zizi

  • D : Finalement si ton zizi n’était pas si petit je pense que je prendrais moins de plaisir à te le tripoter.
  • C : Quand on a une petite bite il est clair qu’on ne peut pas jouer les machos

Sur ses branlettes

  • D : Vas-y mon chéri, branle-toi bien devant moi. J’aime te voir t’exhiber, ainsi j’aime te sentir honteux de le faire mais tu sais que tu n’as pas le choix et nous savons tous les deux que plus tu es humilié plus tu es excité.
  • C : Il n’y a que les bébés qui se tripotent en public. Tu n’as aucune fierté, tu préfères te branler devant moi que t’abstenir. Tu comprends maintenant pourquoi je te suis supérieure ? Parce que je suis une Reine et que tu es pathétique.

Sur son fétichisme

  • D : J’adore quand tu respires mes fonds de culottes ou l’intérieur de mes chaussures. C’est important pour moi de savoir que tu acceptes mes odeurs de Femme et qu’elles te rassurent.
  • C : Petit pervers. Tu connais beaucoup de vrai mecs qui s’exciteraient sur des odeurs de chattes ou de transpiration ?

Lorsqu’Elle lui fait nettoyer son intimité

  • D : Montre moi que tu m’aimes de manière inconditionnelle et que, si tu sais que l’intimité d’une Femme ne saurait toujours sentir la rose, un galant homme se doit de l’y aider même – et surtout – en utilisant sa langue.
  • C : Puisque tu es comme un petit chien qui est excité par les odeurs de sexe et de pipi des femelles, va jusqu’au bout des choses et nettoie-moi la chatte avec ta langue de salope.

Lorsqu’Elle urine sur lui ou dans sa bouche (pour celles qui aiment)

  • D : J’adore te marquer ainsi de mes odeurs et me sentir telle une louve dominante à tes yeux.
  • C : Tu connais beaucoup de mecs qui seraient excités à l’idée de servir d’urinoir à une Femme ?

En lui faisant porter une petite culotte ou une nuisette (même provisoirement)

  • D : C’est vrai que la dentelle te va bien. Tu es vraiment trop "mignonne" et "excitante" comme ça.
  • C : Quand on a rien de viril on peut porter des trucs de filles non ? Même habillée en mec une Femme porte de la lingerie. Pourquoi pas toi ?

S’il est chaste

  • D : Tu sais bien que ta chasteté te pousse à me désirer davantage et donc à m’aimer plus. L’amour que tu me portes n’est-il pas essentiel pour toi et pour notre couple ? Et puis ta langue est merveilleuse et me suffit amplement.
  • C : Tu sais bien que ton zizi est trop petit pour me donner du plaisir et il est hors de question que je me donne à quelqu’un qui ne m’en donnerait pas. Après tout si tu veux prendre ton pied la branlette est bien suffisante.

S’il porte une cage de chasteté (même provisoirement)

  • D : On dirait un bijou qui met en valeur ton zizi. Un gentil garçon ne saurait jouir en dehors de la présence de sa Maîtresse.
  • C : Quand on a une quéquette épilée de petit garçon on réagit souvent comme un petit garçon et je veux être sure que tu ne te tripoteras pas sans mon accord..

S’il est cocu

  • D : Tu sais bien que j’ai des besoins que tu ne pourras jamais satisfaire et, quand bien même, tu sais que j’ai besoin de me sentir séduisante et je sais que tu ne voudrais pas me frustrer de mon pouvoir de séduction.
  • C : Désolée mais je n’y peux rien mais quand on a une petite bite on est condamné à être cocu.

Bien sûr la liste est non exhaustive et chacune saura employer les mots qui lui semblent les plus appropriés suivant les situations.

L’alternance de phrases douces ou cassantes permet à la Reine de mettre en place un processus de construction/destruction destiné à son chevalier.

La douceur pour le construire et l’aider à accepter sa soumission, la dureté pour détruire son ego de mâle. En d’autres termes les réflexions douces sont là pour rassurer le chevalier quant à l’amour que lui porte sa Reine et les réflexions cassantes pour lui faire perdre confiance quant à sa (prétendue donc…) virilité.

Ce dernier point l’aidera à reconnaitre la supériorité de sa Reine à travers sa féminité puisqu’il n’aura rien à lui opposer en retour.

Quelques principes à ne pas ignorer :

  1. C’est la Reine qui mène le bal et c’est à Elle de trouver les mots qui lui sembleront le plus justes. En d’autres termes, il faut qu’Elle soit convaincue de ce qu’Elle dit au risque de ne pas paraître naturelle et de rendre l’exercice contre-productif. Qui va piano va sano et dans le cas contraire il vaut mieux qu’Elle attende des jours meilleurs pour mettre en place la procédure.
  2. Partant du principe qu’il est plus facile de détruire ce qu’on a construit que le contraire, il vaut mieux dans un premier temps utiliser des phrases rassurantes puis avec le temps les alterner avec des phrases plus cassantes.
  3. Suivant le premier principe une Reine ne doit pas se sentir obligée de s’attaquer à tous les thèmes en même temps ni d’aller à la même vitesse pour passer du rassurant au cassant. Là aussi c’est à Elle de voir en fonction de ses envies mais aussi en fonction des réactions de son chevalier.
  4. Aussi résistant soit-il aux humiliations concernant sa virilité, un soumis aura toujours besoin d’être rassuré concernant son humanité (son statut d’homme en tant qu’humain) et quand bien même le but est de casser son ego de mâle sa Maîtresse aura tout intérêt à mettre en valeur les qualités qu’Elle lui reconnait par ailleurs (intelligence, humour, etc…)

 

Honteux

Il a été montré dans un précédent article qu’une Reine, à la différence d’une Femme "normale" qui a tendance à sur-valoriser la taille du pénis de son partenaire, a tout intérêt à dévaloriser la virilité de son chevalier pour lui faire perdre confiance en lui-même et ainsi ne plus rien à avoir à opposer (au regard de notre culture) à sa féminité.

Pour une grande majorité d’homme (de ceux qui sont juste au dessus de la moyenne en descendant vers le bas) le constat sera facile à réaliser et un chevalier sera déstabilisé à l’idée que ce qu’il pensait être une lance est tout juste un petit robinet aux yeux de sa Reine. Il pourra néanmoins penser que cette dernière est exigeante ou qu’elle lui a dit cela juste pour le déstabiliser.

Il est donc important pour une Reine – une fois la constatation faite – de conditionner son chevalier à admettre qu’il ne s’agissait ni d’un jeu ni d’une simple taquinerie et que son sexe n’est pas un objet de fantasme pour Elle mais un objet qui va servir à l’humilier ou un jouet qui va servir à le contrôler.

Une Reine aura donc tout intérêt :

  • A adapter son vocabulaire
    • En bannissant les mots comme pénis ou sexe (qui caractérisent un organe sexuel d’homme) concernant son chevalier et en les remplaçant par zizi, quéquette, petite nouille, virgule ou tout terme dévalorisant (qui caractérisent un organe sexuel de petit garçon) qu’Elle aura choisi.
  • A contrôler la chose
    • De manière un peu mécanique – comme le ferait une infirmière – en vérifiant sa propreté (comme pour un petit garçon), si elle est bien épilée, s’il n’y a pas de rougeurs, si elle est sensible aux caresses, etc….
  •  A impliquer son chevalier dans le processus
    • En lui faisant répéter (par exemple pendant les phases d’inspection) : J’ai une petite nouille, j’ai une quéquette de petit garçon, j’ai un zizi de cocu (même s’il ne l’est pas) afin qu’il s’approprie l’idée et que l’humiliation qui en découle le pousse à être encore plus perméable à la supériorité féminine.

Tout ce conditionnement le conduira non seulement à reconnaitre (mais n’est ce pas souvent le cas ?) ses carences et son incompétences à satisfaire sexuellement sa Maîtresse de manière traditionnelle (en lui faisant l’amour) donc de sa chasteté (possible) et de sa nécessité de se rattraper avec sa langue mais mieux, même s’il est convaincu qu’une Femme à besoin de pluralité, qu’il est responsable du fait qu’il soit cocu (si il l’est).