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Honteux

Il a été montré dans un précédent article qu’une Reine, à la différence d’une Femme "normale" qui a tendance à sur-valoriser la taille du pénis de son partenaire, a tout intérêt à dévaloriser la virilité de son chevalier pour lui faire perdre confiance en lui-même et ainsi ne plus rien à avoir à opposer (au regard de notre culture) à sa féminité.

Pour une grande majorité d’homme (de ceux qui sont juste au dessus de la moyenne en descendant vers le bas) le constat sera facile à réaliser et un chevalier sera déstabilisé à l’idée que ce qu’il pensait être une lance est tout juste un petit robinet aux yeux de sa Reine. Il pourra néanmoins penser que cette dernière est exigeante ou qu’elle lui a dit cela juste pour le déstabiliser.

Il est donc important pour une Reine – une fois la constatation faite – de conditionner son chevalier à admettre qu’il ne s’agissait ni d’un jeu ni d’une simple taquinerie et que son sexe n’est pas un objet de fantasme pour Elle mais un objet qui va servir à l’humilier ou un jouet qui va servir à le contrôler.

Une Reine aura donc tout intérêt :

  • A adapter son vocabulaire
    • En bannissant les mots comme pénis ou sexe (qui caractérisent un organe sexuel d’homme) concernant son chevalier et en les remplaçant par zizi, quéquette, petite nouille, virgule ou tout terme dévalorisant (qui caractérisent un organe sexuel de petit garçon) qu’Elle aura choisi.
  • A contrôler la chose
    • De manière un peu mécanique – comme le ferait une infirmière – en vérifiant sa propreté (comme pour un petit garçon), si elle est bien épilée, s’il n’y a pas de rougeurs, si elle est sensible aux caresses, etc….
  •  A impliquer son chevalier dans le processus
    • En lui faisant répéter (par exemple pendant les phases d’inspection) : J’ai une petite nouille, j’ai une quéquette de petit garçon, j’ai un zizi de cocu (même s’il ne l’est pas) afin qu’il s’approprie l’idée et que l’humiliation qui en découle le pousse à être encore plus perméable à la supériorité féminine.

Tout ce conditionnement le conduira non seulement à reconnaitre (mais n’est ce pas souvent le cas ?) ses carences et son incompétences à satisfaire sexuellement sa Maîtresse de manière traditionnelle (en lui faisant l’amour) donc de sa chasteté (possible) et de sa nécessité de se rattraper avec sa langue mais mieux, même s’il est convaincu qu’une Femme à besoin de pluralité, qu’il est responsable du fait qu’il soit cocu (si il l’est).