Pour un chevalier franchement hétérosexuel, devoir pour le plaisir de sa Reine (qui aura théâtralisé ou pas la chose) toucher, caresser ou même branler le sexe d’un autre homme est un passage de cap difficile à réaliser et un vrai acte de soumission, pouvant le conduire – si l’expérience ne s’avérait pas traumatisante – a devoir réorienter partiellement sa sexualité (au moins et toujours pour le plaisir de sa Reine).
" Désolé mon chéri mais comme tu le sais, quand je n’ai pas d’amant sous la main, je préfère encore un gode à ta quéquette. Et comme j’en aurai toujours un sous la main, jamais tu n’iras là où il vont "
" Bon, c’est plus clair dans ton esprit maintenant ? Tu comprends pourquoi c’est lui qui me baise et pas toi ? "
Pour un certain nombre de Reines, la quéquette de leur chevalier est comme un doudou : une chose objectivement inutile mais qui tient sa valeur dans le fait qu’il n’appartient qu’à Elle et que ça la rassure de toujours l’avoir à portée de main.
" Eh bien dis donc ! on dirait que tu as une érection. C’est curieux ça. C’est la douceur du satin sur ton petit oiseau qui t’excite ainsi ? Ou l’humiliation de devoir porter une culotte de Fille parce que pour moi tu n’as rien d’un mâle ? "
Chaque jour le vaincu doit savoir s’abaisser avec humilité devant Celle dont il reconnait la victoire et la supériorité.
Branler son chevalier c’est pour une Reine un moyen de lui donner du plaisir mais aussi lui signifier qu’Elle l’aime, lorsqu’Elle le fait tendrement ou qu’Elle est sa Maîtresse lorsqu’Elle le fait de manière plus mécanique ou plus humiliante.
Plutôt que de laisser perdre le sperme de son chevalier lorsqu’Elle le branle, une Reine peut le faire gicler sur son sac à main et s’en servir de crème nourricière pour en entretenir le cuir (charge au chevalier – bien sûr – de procéder au massage du cuir pour bien la faire pénétrer).
NB : Difficile d’entretenir un sac avec une seule giclée. Il faut donc, soit procéder en plusieurs fois, soit stocker le sperme (dans un bac à glaçon par exemple) et le récupérer lorsque la quantité est suffisante (idem pour bottes et chaussures).
Un simple accessoire suffit parois à rendre une Reine ultra Féminine beaucoup plus virile que son chevalier (et à lui démontrer pourquoi il restera toujours petit garçon à ses yeux).
Même s’il ne faut pas généraliser, la taille du sexe masculin compte pour un certain nombre de Femmes.
Quand bien même ce ne serait pas le cas, faire constater à un homme que son appendice se situe sous la moyenne (voire largement sous la moyenne comme ici où il fait – 4 inches – soit 10 cm au lieu de la quinzaine de la norme) est particulièrement humiliant pour lui.
Le lui faire admettre, comme d’admettre qu’on pourrait aisément trouver plus satisfaisant que lui, donc en le faisant se sentir vulnérable et peu sûr de sa virilité, est souvent la première étape qui le conduit à la soumission.
C’est d’ailleurs pour ça (même si là aussi il ne faut pas généraliser) que la plupart des soumis ont de petits zizis.
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